Le secrétaire général Ban Ki-moon. REUTERS
L’une des mesures prises par l’ONU pour enrayer la situation de chaos en Centrafrique est de renforcer sa présence sur place, non seulement à Bangui mais également en dehors de la capitale. Or, le bureau de l’ONU, le Binuca a été à plusieurs reprises pris pour cible et pillé depuis la chute de François Bozizé.
Ban Ki-moon demande donc une protection : 250 soldats qui seront redéployés depuis les missions de casques bleus déjà existantes, puis 560 dans une seconde phase quand le personnel s’installera en province.
Ces hommes n’auront pour mission que de protéger les bâtiments et le personnel de l’ONU. Mais au siège des Nations unies, il est clair qu’ils seront aussi les précurseurs d’une mission de maintien de la paix.
→A (RE)LIRE : RCA: la communauté internationale au chevet d'une crise oubliée
L’envoi de casques bleus a déjà été évoqué par le Conseil de sécurité. Il faut encore l’accord de l’Union africaine et celui des pays donateurs. La Grande-Bretagne et les Etats-Unis ont encore des réticences. Ils craignent que la Centrafrique ne vienne puiser dans des crédits affectés à la crise somalienne qui est pour Londres et Washington une priorité plus importante que la Centrafrique.
Source : Rfi.fr
Ban Ki-moon demande donc une protection : 250 soldats qui seront redéployés depuis les missions de casques bleus déjà existantes, puis 560 dans une seconde phase quand le personnel s’installera en province.
Ces hommes n’auront pour mission que de protéger les bâtiments et le personnel de l’ONU. Mais au siège des Nations unies, il est clair qu’ils seront aussi les précurseurs d’une mission de maintien de la paix.
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Source : Rfi.fr
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