Mercredi, Malabo avait annoncé avoir déjoué un "coup d'Etat".
Selon un communiqué, un groupe de mercenaires étrangers en majorité tchadiens, mais aussi soudanais et centrafricains a voulu le 24 décembre attaquer le chef de l'Etat qui se trouvait dans le palais présidentiel de Koete Mongomo pour les fêtes de fin d'année.
Le pouvoir en place a affirmé que le "coup d'Etat" avait été orchestré par des "militants de certains partis d'opposition radicale avec le soutien de certaines puissances" étrangères.
Selon un communiqué, un groupe de mercenaires étrangers en majorité tchadiens, mais aussi soudanais et centrafricains a voulu le 24 décembre attaquer le chef de l'Etat qui se trouvait dans le palais présidentiel de Koete Mongomo pour les fêtes de fin d'année.
Le pouvoir en place a affirmé que le "coup d'Etat" avait été orchestré par des "militants de certains partis d'opposition radicale avec le soutien de certaines puissances" étrangères.
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