« Un nouveau plan de gestion des urgences au Sénégal entrera en vigueur le 1er janvier 2020 ». C’est du moins, ce qu’a fait savoir le ministre sénégalais de la Santé, Abdoulaye Diouf Sarr, dans l’émission jury du dimanche.
« Nous avons réalisé cette commande. Il y a quelques moi tous les acteurs du système de santé se sont retrouvés autour de la problématique des urgences. Pour dire que les urgences, il faut absolument qu’on s’en occupe. Il y a une solution. La feuille de route est élaborée et le 1er janvier 2020, le Centre des urgences sera mis en œuvre », informe le ministre.
Reconnaissant qu’il y a des manquements dans le système de la santé, Abdoulaye Diouf Sarr considère que des efforts considérables ont été faits depuis 2012, notamment la réduction de la dette hospitalière.
« La dette hospitalière aujourd’hui est nettement inférieur à 8 milliards FCFA. En tant que ministre de la Santé et de l’action sociale, depuis le nouveau gouvernement la couverture maladie universelle a migré pour dissocier l’offre de la demande. Au moment où j’avais cette couverture maladie universelle, j’avais réussi à tendre cette dette-là, vers 10 à 9 milliards fcfa», dit-il.
« Nous avons réalisé cette commande. Il y a quelques moi tous les acteurs du système de santé se sont retrouvés autour de la problématique des urgences. Pour dire que les urgences, il faut absolument qu’on s’en occupe. Il y a une solution. La feuille de route est élaborée et le 1er janvier 2020, le Centre des urgences sera mis en œuvre », informe le ministre.
Reconnaissant qu’il y a des manquements dans le système de la santé, Abdoulaye Diouf Sarr considère que des efforts considérables ont été faits depuis 2012, notamment la réduction de la dette hospitalière.
« La dette hospitalière aujourd’hui est nettement inférieur à 8 milliards FCFA. En tant que ministre de la Santé et de l’action sociale, depuis le nouveau gouvernement la couverture maladie universelle a migré pour dissocier l’offre de la demande. Au moment où j’avais cette couverture maladie universelle, j’avais réussi à tendre cette dette-là, vers 10 à 9 milliards fcfa», dit-il.
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