Le projet VaRRIWA (Valorising Research Results and Innovation in West Africa), lancé en juin 2021, touche à sa fin après quatre années d’impact significatif sur la valorisation des résultats de la recherche en Afrique de l’Ouest. Venu présider la cérémonie de clôture, ce lundi Dr Abdourahmane DIOUF, Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a déclaré qu’il n'y a pas de ‘’valorisation de la recherche sans recherche’’. Selon le Ministre, la conclusion que l'on peut en tirer, c'est que définitivement, l'Afrique n'est pas handicapée pour la recherche.
« Je ne manque pas de vous rappeler les propos d’un de nos professeurs il y a longtemps. Il disait en Afrique des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche. Quand j’ai vu le titre du projet, j’ai vu que c’était un projet ambitieux. Le recteur, vous savez de quoi je parle. Vous, vous nous initiez à une rencontre, à un projet, qui parle de la valorisation de la recherche. Et il l'a rappelé, il n'y a pas de valorisation de la recherche sans recherche. Donc cela veut dire que vous, vous avez passé, à mon avis, très rapidement d'une étape, qui est l'étape de la recherche, à l'étape de la post-recherche », a déclaré Dr Abdourahmane Diouf.
Selon le Ministre, « comme il n'y a pas de post-modernité sans modernité, on peut avoir l'impression qu'il n'y a pas de post-recherche sans recherche. Alors qu'on aurait pu encore faire un autre type de recherche. Mais cela montre l'ambition du programme que vous avez. Parce que justement, quand on lit les différents projets, les différents résultats que vous avez produits, ceux qui pouvaient être sceptiques par rapport à la pertinence de la post-recherche, sont rassurés par les résultats que vous avez escomptés. Donc la conclusion que l'on peut en tirer, c'est que définitivement, l'Afrique n'est pas handicapée pour la recherche. Mais si elle est bien entraînée, suivie, coachée, financée, elle peut produire des résultats de recherche, et prouver les bons experts que vous êtes pour assurer des résultats dans la valorisation de la recherche ».
Ce qui pour le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est un motif de satisfaction extrêmement important pour le gouvernement qui place la recherche et l'innovation au cœur de ses préoccupations.
« … Comme à un moment donné, on a pu dépasser la maxime de l'art pour l'art, de l'art contemplatif, nous avons l'ambition de dépasser l'art recherche pour la recherche. Non pas que la recherche fondamentale est négative, nous en avons encore besoin, mais nous avons aussi besoin d'une forte dimension de recherche appliquée pour que nos enfants puissent faire des médicaments, des téléphones, des avions, des centres nucléaires et autres. En-tout-cas, c'est ça la nouvelle vocation de l'Afrique, et cette nouvelle vocation, on l'a retenue dans le gouvernement du Président Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmame Sonko », a-t-il précisé.
« Je ne manque pas de vous rappeler les propos d’un de nos professeurs il y a longtemps. Il disait en Afrique des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche. Quand j’ai vu le titre du projet, j’ai vu que c’était un projet ambitieux. Le recteur, vous savez de quoi je parle. Vous, vous nous initiez à une rencontre, à un projet, qui parle de la valorisation de la recherche. Et il l'a rappelé, il n'y a pas de valorisation de la recherche sans recherche. Donc cela veut dire que vous, vous avez passé, à mon avis, très rapidement d'une étape, qui est l'étape de la recherche, à l'étape de la post-recherche », a déclaré Dr Abdourahmane Diouf.
Selon le Ministre, « comme il n'y a pas de post-modernité sans modernité, on peut avoir l'impression qu'il n'y a pas de post-recherche sans recherche. Alors qu'on aurait pu encore faire un autre type de recherche. Mais cela montre l'ambition du programme que vous avez. Parce que justement, quand on lit les différents projets, les différents résultats que vous avez produits, ceux qui pouvaient être sceptiques par rapport à la pertinence de la post-recherche, sont rassurés par les résultats que vous avez escomptés. Donc la conclusion que l'on peut en tirer, c'est que définitivement, l'Afrique n'est pas handicapée pour la recherche. Mais si elle est bien entraînée, suivie, coachée, financée, elle peut produire des résultats de recherche, et prouver les bons experts que vous êtes pour assurer des résultats dans la valorisation de la recherche ».
Ce qui pour le Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation est un motif de satisfaction extrêmement important pour le gouvernement qui place la recherche et l'innovation au cœur de ses préoccupations.
« … Comme à un moment donné, on a pu dépasser la maxime de l'art pour l'art, de l'art contemplatif, nous avons l'ambition de dépasser l'art recherche pour la recherche. Non pas que la recherche fondamentale est négative, nous en avons encore besoin, mais nous avons aussi besoin d'une forte dimension de recherche appliquée pour que nos enfants puissent faire des médicaments, des téléphones, des avions, des centres nucléaires et autres. En-tout-cas, c'est ça la nouvelle vocation de l'Afrique, et cette nouvelle vocation, on l'a retenue dans le gouvernement du Président Diomaye Faye et du Premier ministre Ousmame Sonko », a-t-il précisé.
Autres articles
-
Le TER, un coût pour l'État, selon Yankhoba Diémé
-
Sangomar : 2,70 millions de barils de pétrole brut produits en février 2025
-
Touba : un homme arrêté pour insulte au Premier ministre
-
Casamance : le corps sans vie d’un jeune de Pikine retrouvé ce jeudi à Colomba (Sud)
-
Forum des métiers des EFS pour les employés sénégalais : des entreprises proposent 300 emplois aux futurs licenciés