En télécommunication, la 4G est la quatrième génération des stantards pour la téléphonie mobile. Succédant à la 2G et à la 3G, elle permet le « très haut débit mobile», c’est-à-dire des transmissions de données à des débits théoriquement supérieurs à 100 Mbits/s, voire supérieurs à 1 Bbits/s (débit minimum défini par l’UIT pour les spécifications IMT-Avanced (en)).
En pratique, les débits sont de l’ordre de quelques dizaines de Mbits/s selon le nombre d’utilisateurs, puisque la bande passante est partagée entre les terminaux actifs des utilisateurs présents dans la même cellule radio.
Une des particularités de la 4G est d’avoir un « cœur de réseau » basé sur IP et de ne plus offrir de mode commuté (établissement d’un circuit pour transmettre un appel «voix»). Ce qui signifie que les communications téléphoniques utilisent la voix sur IP (en mode paquet).
En pratique, les débits sont de l’ordre de quelques dizaines de Mbits/s selon le nombre d’utilisateurs, puisque la bande passante est partagée entre les terminaux actifs des utilisateurs présents dans la même cellule radio.
Une des particularités de la 4G est d’avoir un « cœur de réseau » basé sur IP et de ne plus offrir de mode commuté (établissement d’un circuit pour transmettre un appel «voix»). Ce qui signifie que les communications téléphoniques utilisent la voix sur IP (en mode paquet).
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