Le député Guy Marius Sagna invite les parents d’élèves à respecter le règlement intérieur de ces établissements privés. Pour lui, le grand défi reste le développement de l’école publique.
« Dans ce débat qui n’est pas nouveau, à l’époque, les écoles privées catholiques ont dit que nous ne pouvons pas avoir à notre sein, des élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas porter des habilles de l’école. Les élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas s’asseoir sur le même banc qu’un de leur camarade du sexe opposé. Qu'ils ne veulent pas se mettre dans les rangs qu’un de leurs camarades avant d’entrer en classe et en ayant des élèves de sexe opposé devant et après eux. Que ce n’est pas leur projet éducatif », a déclaré Guy Marius Sagna.
Mieux, poursuit le député sur les ondes d'Iradio : « Je pense qu’on peut accepter que dans les écoles privées catholiques le projet, c’est cela. Et que si on n’y va, c’est parce qu’on y accepte. Si on ne veut pas, il faut aller dans une autre école. Si je veux que ma fille ou mon garçon dans son école s’asseye avec des gens du même sexe que je vais dans des écoles, c’est cela la règle. Si c’est cela, il n’y a pas de problème d’une part. D’autre part, cela nous rappelle une chose, il nous faut renforcer, développer, augmenter les moyens au niveau de l’école publique, l’école du peuple, l’école de l’Etat ».
« Dans ce débat qui n’est pas nouveau, à l’époque, les écoles privées catholiques ont dit que nous ne pouvons pas avoir à notre sein, des élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas porter des habilles de l’école. Les élèves qui disent qu’ils ne peuvent pas s’asseoir sur le même banc qu’un de leur camarade du sexe opposé. Qu'ils ne veulent pas se mettre dans les rangs qu’un de leurs camarades avant d’entrer en classe et en ayant des élèves de sexe opposé devant et après eux. Que ce n’est pas leur projet éducatif », a déclaré Guy Marius Sagna.
Mieux, poursuit le député sur les ondes d'Iradio : « Je pense qu’on peut accepter que dans les écoles privées catholiques le projet, c’est cela. Et que si on n’y va, c’est parce qu’on y accepte. Si on ne veut pas, il faut aller dans une autre école. Si je veux que ma fille ou mon garçon dans son école s’asseye avec des gens du même sexe que je vais dans des écoles, c’est cela la règle. Si c’est cela, il n’y a pas de problème d’une part. D’autre part, cela nous rappelle une chose, il nous faut renforcer, développer, augmenter les moyens au niveau de l’école publique, l’école du peuple, l’école de l’Etat ».
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