
Réuni le 19 juin, le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la république (APR) s’est prononcé sur plusieurs sujets d’actualité nationale et internationale. Dans une déclaration, le SEN a fustigé la gouvernance actuelle et dénoncé une tentative de déstabilisation du parti.
Concernant les tensions internationales, le SEN a exprimé sa vive inquiétude « vis-à-vis du conflit entre Israël et l’Iran », condamnant « toute agression d’un pays souverain ». Il a appelé à un « cessez-le-feu » et à l’ouverture de « négociations urgentes dans le cadre du Conseil de Sécurité des Nations Unies », soulignant la nécessité de « parvenir à une paix durable dans la région, conformément au droit international ».
Le SEN s’est également prononcé sur les crises africaines, affirmant soutenir « toutes les démarches en vue d'une sortie de crise dans les conflits qui secouent le continent, notamment au Sahel, à l’Est de la RDC et au Soudan ». Il a rappelé l’engagement du président Macky Sall pour « la paix et le dialogue, conformément à sa vision panafricaniste ».
Sur le plan national, l’instance de l’APR a dénoncé le « retard dans la publication des rapports trimestriels d’exécution budgétaire », y voyant une « violation flagrante de l’article 70 de la Loi organique n°2020-07 relative aux lois de finances publiques ». Le SEN a exigé la publication sans délai du « Bulletin Statistique de la Dette Publique, dont le dernier numéro remonte au mois de juin 2024 ».
La déclaration critique vertement la gestion actuelle, évoquant des « manquements à la loi » et citant des « scandales de l’ASER, de l’ONAS, de la DER, de l’Assemblée nationale et celui prochain d’Air Sénégal ». Le SEN accuse le pouvoir d’être « réfractaire à la transparence et à la culture de la probité », estimant qu’il s’enfonce dans « une gouvernance légère et nébuleuse ».
Concernant le parti Pastef, aujourd’hui au pouvoir, le SEN juge son action marquée par « l’amateurisme et l’incompétence », accusant ce dernier de « mettre en danger les finances publiques et de nuire à l’efficacité de l’action publique ». Selon lui, cette situation explique « le désespoir et la désillusion des Sénégalais », face à une « situation économique et sociale catastrophique ».
Le SEN a également dénoncé une « nouvelle fois l’acharnement » contre les responsables de l’ancienne majorité, saluant la libération de plusieurs figures politiques, tout en rappelant que « ces privations de liberté […] montrent la volonté d’humilier des personnalités dont le seul tort est d’avoir servi le Sénégal avec engagement et loyauté ».
Dans un appel à la mobilisation, le SEN a fustigé « la volonté de déstabilisation de l’APR par un vil procédé de règlement de comptes », dénonçant la « complicité de certains magistrats ». Il a appelé « les responsables et les militants à participer massivement à la marche pacifique du 21 juin à Saint-Louis, pour exiger la libération du camarade Mansour Faye » et celle de tous les détenus politiques.
Enfin, les membres du SEN ont « unanimement réitéré leur loyauté au parti » et exprimé leur détermination à « faire face aux vaines manœuvres du Pastef qui tente désespérément d’imposer au Sénégal, vieille terre de liberté et de démocratie, la terreur et l’autoritarisme ».
Concernant les tensions internationales, le SEN a exprimé sa vive inquiétude « vis-à-vis du conflit entre Israël et l’Iran », condamnant « toute agression d’un pays souverain ». Il a appelé à un « cessez-le-feu » et à l’ouverture de « négociations urgentes dans le cadre du Conseil de Sécurité des Nations Unies », soulignant la nécessité de « parvenir à une paix durable dans la région, conformément au droit international ».
Le SEN s’est également prononcé sur les crises africaines, affirmant soutenir « toutes les démarches en vue d'une sortie de crise dans les conflits qui secouent le continent, notamment au Sahel, à l’Est de la RDC et au Soudan ». Il a rappelé l’engagement du président Macky Sall pour « la paix et le dialogue, conformément à sa vision panafricaniste ».
Sur le plan national, l’instance de l’APR a dénoncé le « retard dans la publication des rapports trimestriels d’exécution budgétaire », y voyant une « violation flagrante de l’article 70 de la Loi organique n°2020-07 relative aux lois de finances publiques ». Le SEN a exigé la publication sans délai du « Bulletin Statistique de la Dette Publique, dont le dernier numéro remonte au mois de juin 2024 ».
La déclaration critique vertement la gestion actuelle, évoquant des « manquements à la loi » et citant des « scandales de l’ASER, de l’ONAS, de la DER, de l’Assemblée nationale et celui prochain d’Air Sénégal ». Le SEN accuse le pouvoir d’être « réfractaire à la transparence et à la culture de la probité », estimant qu’il s’enfonce dans « une gouvernance légère et nébuleuse ».
Concernant le parti Pastef, aujourd’hui au pouvoir, le SEN juge son action marquée par « l’amateurisme et l’incompétence », accusant ce dernier de « mettre en danger les finances publiques et de nuire à l’efficacité de l’action publique ». Selon lui, cette situation explique « le désespoir et la désillusion des Sénégalais », face à une « situation économique et sociale catastrophique ».
Le SEN a également dénoncé une « nouvelle fois l’acharnement » contre les responsables de l’ancienne majorité, saluant la libération de plusieurs figures politiques, tout en rappelant que « ces privations de liberté […] montrent la volonté d’humilier des personnalités dont le seul tort est d’avoir servi le Sénégal avec engagement et loyauté ».
Dans un appel à la mobilisation, le SEN a fustigé « la volonté de déstabilisation de l’APR par un vil procédé de règlement de comptes », dénonçant la « complicité de certains magistrats ». Il a appelé « les responsables et les militants à participer massivement à la marche pacifique du 21 juin à Saint-Louis, pour exiger la libération du camarade Mansour Faye » et celle de tous les détenus politiques.
Enfin, les membres du SEN ont « unanimement réitéré leur loyauté au parti » et exprimé leur détermination à « faire face aux vaines manœuvres du Pastef qui tente désespérément d’imposer au Sénégal, vieille terre de liberté et de démocratie, la terreur et l’autoritarisme ».
Autres articles
-
Convocations et arrestations : Barthélémy Dias dénonce une « injustice notoire » et met en garde contre les dérives autoritaires
-
Convocation de Badara : TAS dénonce une « instrumentalisation » de la justice et fustige les propos de Sonko contre les magistrats
-
Convocation de Badara Gadiaga, mise en demeure GFM : Thierno Bocoum dénonce les dérives du pouvoir et du CNRA
-
Convoqué par la Cybercriminalité, Badara Gadiaga défie Sonko devant une foule en liesse
-
Le FDR apporte son soutien à Badara Gadiaga et met en garde le gouvernement