Le discours tenu par le Président Abdoulaye Wade, en visite à Benghazi (Libye) pour soutenir les rebelles libyens, n’a pas du tout plus au politologue, Abdoul Aziz Diop.
Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de Walf/Tv, il a complètement estime que Wade n’a pas de leçon à donner. «Le président Wade arrive à Benghazi en mauvais donneur de leçon», a attaqué M. Diop.
«Quand le président Wade dit à Khadafi d’arrêter les tueries en décrétant un cessez-le-feu, les Sénégalais peuvent lui rétorquer de cesser le saucissonnage des collectivités locales du Sénégal en décrétant une trêve dans la violence faite aux élus locaux légitimés par le suffrage universel ; quand Wade dit au colonel Khadafi de se retirer, les Sénégalais peuvent lui rétorquer que dans l’intérêt du Sénégal, il doit se retirer de la course à la présidentielle de 2012. Lorsqu’il dit au colonel Khadafi que tout le monde sait que tu as établi une dictature, les Sénégalais peuvent lui rétorquer qu’ici au Sénégal, tout le monde sait qu’il a installé une autocratie qui repose sur trois piliers l’argent, la violence et l’impunité», a souligné le spécialiste en analyse du discours.
A l’en croire, par un jeu de communication, le président Abdoulaye Wade escompte des dividendes diplomatiques principalement pour rentrer dans les bonnes grâces de Obama pour être reçu à la Maison blanche.
Il estime qu’à travers cette démarche Wade a déçu plus d’un. «En définitive, le président Wade ne fait que des déçus dans notre pays, dont le premier est l’ambassadeur Moustapha Cissé qui fait partie de ses grands soutiens et qui, visiblement, n’a pas été consulté.
Dans un entretien qu’il a accordé à nos confrères de Walf/Tv, il a complètement estime que Wade n’a pas de leçon à donner. «Le président Wade arrive à Benghazi en mauvais donneur de leçon», a attaqué M. Diop.
«Quand le président Wade dit à Khadafi d’arrêter les tueries en décrétant un cessez-le-feu, les Sénégalais peuvent lui rétorquer de cesser le saucissonnage des collectivités locales du Sénégal en décrétant une trêve dans la violence faite aux élus locaux légitimés par le suffrage universel ; quand Wade dit au colonel Khadafi de se retirer, les Sénégalais peuvent lui rétorquer que dans l’intérêt du Sénégal, il doit se retirer de la course à la présidentielle de 2012. Lorsqu’il dit au colonel Khadafi que tout le monde sait que tu as établi une dictature, les Sénégalais peuvent lui rétorquer qu’ici au Sénégal, tout le monde sait qu’il a installé une autocratie qui repose sur trois piliers l’argent, la violence et l’impunité», a souligné le spécialiste en analyse du discours.
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