Les réactions pleuvent du côté du camp présidentiel mois de 24 heures après le retour triomphal de Wade qui menace le pouvoir en place. Après le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Mor Ngom, l’ancien porte-parole du président Sall nommé président du collègue des délégués à l’Agence de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP), Abou Abel Thiam met en garde le prédécesseur de Macky Sall en ces termes. « Il est venu. Il a fait son show qu’il se limite à ça. Qu’il fasse sa politique mais qu’il reste dans la République ». Selon le responsable de l’Alliance Pour la République (APR), « il ne faudrait pas qu’il comme il a l’habitude de le faire, il envoie des jeunes aux sacrifices pour son compte à lui ou de son fils ».
Abou Abel Thiam est d’avis que certes qu’il faudrait une opposition dans un pays car « nous ne sommes pas dans un régime totalitaire » mais « ce pays a été une démocratie avant Macky Sall et avant Wade lui-même, un ancrage démocratique profond, une liberté d’expression dus à la solidité de nos Institutions » qu’il « ne faudrait pas que les gens s’amusent pour des contingences personnelles, à fragiliser ». En ce sens l’ancien porte-parole du président de la République se veut clair : « Il ne faudrait pas justement qu’au nom de cette démocratie, on tue la démocratie. En vertu de quoi dans un pays démocratique dans un Etat de droit devrait-on laisser quelqu’un parler de coup d’Etat, de marche sur le Palais, de gendarmerie et de police et de forces Armées qui ne seraient pas aux mains du chef de l’Etat qui est le chef suprême des armées ».
« Abdoulaye Wade n’a pas le droit de jouer avec la ligne rouge, il ya une ligne rouge infranchissable pour qui que ce soit mais il a tendance justement à être à cheval sur cette ligne et à jouer sur les mots », lance Abou Abel Thiam qui répond au père de Karim Wade sur les ondes de la Rfm, en ces termes : « Nous avons parfaitement décrypter son message, il est dans la séduction, dans l’appel à la division et l’Etat sera là pour faire face à lui et à quiconque s’amusera à ce jeu dangereux pour nos Institutions. S’il n’arrête pas, l’Etat sera là pour l’arrêter dans tous les sens du terme ».
Abou Abel Thiam est d’avis que certes qu’il faudrait une opposition dans un pays car « nous ne sommes pas dans un régime totalitaire » mais « ce pays a été une démocratie avant Macky Sall et avant Wade lui-même, un ancrage démocratique profond, une liberté d’expression dus à la solidité de nos Institutions » qu’il « ne faudrait pas que les gens s’amusent pour des contingences personnelles, à fragiliser ». En ce sens l’ancien porte-parole du président de la République se veut clair : « Il ne faudrait pas justement qu’au nom de cette démocratie, on tue la démocratie. En vertu de quoi dans un pays démocratique dans un Etat de droit devrait-on laisser quelqu’un parler de coup d’Etat, de marche sur le Palais, de gendarmerie et de police et de forces Armées qui ne seraient pas aux mains du chef de l’Etat qui est le chef suprême des armées ».
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