Dans une lettre, accompagnée d’un certificat médical, publiée par son site dakaractu, le journaliste accuse deux gardes pénitentiaires de l’avoir agressé et qu’il a deux dents défoncées. Ses conseillers entendent porter plainte contre ces agresseurs.
Le procureur de la République, selon « L’Observateur », n’attend que la plainte de l’ancien journaliste du magazine « Jeune Afrique » pour ouvrir une enquête sur son agression. Dans cette affaire le parquet compte entendre tous les gardes pénitentiaires qui sont mêlés de près ou de loin dans cette affaire. Cheikh Yérim Seck va également être auditionné par le magistrat qui sera désigné.
Pour l’heure, le directeur de publication de Dakaractu, condamné à deux ans ferme de prison pour viol a été transféré de la prison du Camp Pénal de Liberté 6 à celle du Cap Manuel où il occupe une cellule à 3 du 2ème secteur, selon la même source.
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