
Selon les sondages, beaucoup d'électeurs se détournent de l'ANC. Mais avec ce grand rassemblement, le parti au pouvoir pense avoir prouvé le contraire.
« On est là pour soutenir Ramaphosa ! » L'ANC a encore des fidèles et ces fidèles ont encore espoir. Ils sont reconnaissants pour les aides sociales offertes par le gouvernement.
C'est le cas de Khanyisa Zabo, 24 ans et sans emploi. « Mon enfant reçoit des allocations et certains d'entre nous recevons une aide mensuelle. L'ANC s'intéresse d'abord aux pauvres », dit-il.
Le recours massif aux aides sociales s'explique aussi par les faillites du gouvernement ANC. Trop de gens sont sans emploi, trop de gens vivent dans la pauvreté, a reconnu le président Cyril Ramaphosa.
« Notre quête d'une Afrique du Sud bâtie selon les aspirations de notre population, explique le chef de l'État, est loin d'être achevée. Comme disait Nelson Mandela, il nous reste encore beaucoup de collines à gravir. »
Le chef de l'État se veut optimiste et voit son parti gouverner pour encore 30 ans. C'est l'âge de Senamile Mlotswa, qui préfère rester prudente : « Je pense leur donner mon vote pour la première fois et ce sera aussi leur dernière chance. »
« On est là pour soutenir Ramaphosa ! » L'ANC a encore des fidèles et ces fidèles ont encore espoir. Ils sont reconnaissants pour les aides sociales offertes par le gouvernement.
C'est le cas de Khanyisa Zabo, 24 ans et sans emploi. « Mon enfant reçoit des allocations et certains d'entre nous recevons une aide mensuelle. L'ANC s'intéresse d'abord aux pauvres », dit-il.
Le recours massif aux aides sociales s'explique aussi par les faillites du gouvernement ANC. Trop de gens sont sans emploi, trop de gens vivent dans la pauvreté, a reconnu le président Cyril Ramaphosa.
« Notre quête d'une Afrique du Sud bâtie selon les aspirations de notre population, explique le chef de l'État, est loin d'être achevée. Comme disait Nelson Mandela, il nous reste encore beaucoup de collines à gravir. »
Le chef de l'État se veut optimiste et voit son parti gouverner pour encore 30 ans. C'est l'âge de Senamile Mlotswa, qui préfère rester prudente : « Je pense leur donner mon vote pour la première fois et ce sera aussi leur dernière chance. »
Autres articles
-
Guinée: la tournée «en immersion» du gouvernement, une campagne électorale qui ne dit pas son nom
-
Est de la RDC: la classe politique divisée après deux semaines d’offensive et une accalmie fragile
-
RDC: dans une ville loin d’être sécurisée, la population de Goma vit dans la peur
-
Libye: 28 corps de migrants retrouvés dans une fosse commune dans la région de Koufra
-
Cameroun: dans son discours à la jeunesse, Paul Biya continue de se projeter sur la scène politique