![Afrique du Sud : l’audition du président Zuma suspendue, reprenne le vendredi Afrique du Sud : l’audition du président Zuma suspendue, reprenne le vendredi](https://www.pressafrik.com/photo/art/default/35704000-32200720.jpg?v=1563444256)
« Nous suspendons les débats jusqu’à vendredi matin (…) de façon à ce que les avocats des deux parties trouvent un accord », a annoncé le président de la commission, le juge Raymond Zondo, à l’issue d’un énième incident de séance.
« J’ai bon espoir qu’il sera possible de trouver un moyen de prendre en compte les préoccupations de l’ancien président« , a-t-il ajouté.
Jacob Zuma témoigne depuis lundi devant la commission, chargée de faire la lumière sur les nombreux scandales qui ont éclaboussé sa présidence (2009-2018) et l’ont contraint à la démission il y a un an et demi.
L’ex-chef de l’Etat a nié toute implication dans ces affaires de corruption, en criant à la « calomnie » et en dénonçant un « complot » destiné à l’éliminer voire « l’assassiner ».
Trous de mémoire
Depuis lundi après-midi, M. Zuma, qui dépose de son plein gré devant cette instance sans pouvoir judiciaire, est pressé de questions sur les témoignages qui l’ont mis en cause. « Je ne me souviens pas », a-t-il largement esquivé jusque-là. Interrogé mercredi sur la nomination d’un haut fonctionnaire qu’il aurait imposée, Jacob Zuma s’est une nouvelle fois plaint de faire l’objet d’un « interrogatoire ».
« J’ai bon espoir qu’il sera possible de trouver un moyen de prendre en compte les préoccupations de l’ancien président« , a-t-il ajouté.
Jacob Zuma témoigne depuis lundi devant la commission, chargée de faire la lumière sur les nombreux scandales qui ont éclaboussé sa présidence (2009-2018) et l’ont contraint à la démission il y a un an et demi.
L’ex-chef de l’Etat a nié toute implication dans ces affaires de corruption, en criant à la « calomnie » et en dénonçant un « complot » destiné à l’éliminer voire « l’assassiner ».
Trous de mémoire
Depuis lundi après-midi, M. Zuma, qui dépose de son plein gré devant cette instance sans pouvoir judiciaire, est pressé de questions sur les témoignages qui l’ont mis en cause. « Je ne me souviens pas », a-t-il largement esquivé jusque-là. Interrogé mercredi sur la nomination d’un haut fonctionnaire qu’il aurait imposée, Jacob Zuma s’est une nouvelle fois plaint de faire l’objet d’un « interrogatoire ».
Autres articles
-
Mali: 16 morts et 48 blessés dans une collision entre deux bus
-
Barack Obama annonce son soutien à Kamala Harris comme candidate à la présidentielle américaine
-
Sabotages sur le réseau TGV: «25%» des trains annulés entre Paris et Londres (Eurostar)
-
Le groupe français Orano annonce une perte semestrielle de 133 millions d'euros, en raison de ses difficultés au Niger
-
France: victime d'une «attaque massive» sur ses lignes, la SNCF dénonce des actes de «sabotage»