« [La campagne présidentielle] a été très dure, mais du fait de mes adversaires [...]. L’opposition se signale toujours par des accusations non fondées et non prouvées. Je savais que moi j’avais une campagne à mener, alors j’ai pris mes précautions. Quant à l’utilisation des moyens de l’Etat, qu’ils le prouvent […]. J’ai confiance dans les réactions de mes compatriotes lorsque je vais les voir… Je suis confiant quant à la victoire. Aujourd’hui, monsieur Ping verse dans la xénophobie, monsieur Ping verse dans l’insulte. Il présente un risque pour le Gabon. Il est violent, il est corrompu et il est mauvais joueur. […] Moi, je suis bon joueur. Si je perds, je reconnaîtrais ma défaite. Mais pourquoi vous me parlez de défaite ? Parce que moi, je vais gagner. »
Autres articles
-
En Libye, démantèlement d'un trafic d'or à l'aéroport de Misrata
-
Côte d'Ivoire: le retour de la peste porcine africaine alarme les éleveurs de porcs
-
Niger: le ministre des Mines avance un objectif de souveraineté sur les ressources minières du pays
-
Soudan: la ville d'El Fasher au milieu de l'offensive des paramilitaires de Hemedti
-
Tunisie: le siège de l’ordre des avocats à nouveau cible d’une attaque violente à Tunis