Peut-être ce ne sera pas une autre déclaration tapageuse à laquelle il a habitué les Guinéens. Alpha Condé a traité dimanche lors d’une rencontre avec les sections scolaires et universitaires du RPG au siège du parti au pouvoir à Gbessia Abdourahmane Sano de la PCUD (Plateforme des citoyens unis pour le développement) de ‘’petit bandit’’ qui voulait le renverser, en s’appuyant sur certains militaires
« Je suis très calme, c’est pourquoi je laisse les gens s’agiter, mais ils ne trompent personne. La grève des enseignants l’année dernière, il y avait quelque chose derrière. C’était des gens qui pensaient qu’ils peuvent renverser le gouvernement en s’appuyant sur certains militaires. En tête [Abdourahamane] Sano de la PCUD, un petit bandit comme ça-là qui exploite ses travailleurs, qui ne les paient pas. Et qui après n’a pas honte de m’écrire : « président, pardon aide-moi » », a lâché le président Condé sur un ton dépité.
« Voilà quelqu’un [Sano] qui se présente comme combattant et dès qu’il y a un petit problème court pour demander pardon. Ils ont pensé qu’ils peuvent compter sur certains militaires pour faire un coup d’Etat, le chef d’Etat-major de l’armée de terre, de l’air, de la marine, car l’armée est républicaine et est derrière le pouvoir », a rappelé le chef de l’Etat qui a appelé ses partisans à ne ni provoquer ni violenter mais se défendre.
« Je suis très calme, c’est pourquoi je laisse les gens s’agiter, mais ils ne trompent personne. La grève des enseignants l’année dernière, il y avait quelque chose derrière. C’était des gens qui pensaient qu’ils peuvent renverser le gouvernement en s’appuyant sur certains militaires. En tête [Abdourahamane] Sano de la PCUD, un petit bandit comme ça-là qui exploite ses travailleurs, qui ne les paient pas. Et qui après n’a pas honte de m’écrire : « président, pardon aide-moi » », a lâché le président Condé sur un ton dépité.
« Voilà quelqu’un [Sano] qui se présente comme combattant et dès qu’il y a un petit problème court pour demander pardon. Ils ont pensé qu’ils peuvent compter sur certains militaires pour faire un coup d’Etat, le chef d’Etat-major de l’armée de terre, de l’air, de la marine, car l’armée est républicaine et est derrière le pouvoir », a rappelé le chef de l’Etat qui a appelé ses partisans à ne ni provoquer ni violenter mais se défendre.
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