Le ministre sénégalais de l’Economie, des Finances et du Plan; Amadou Ba, a soutenu jeudi à Dakar que le Sénégal est le seul pays d’Afrique subsaharienne ayant un cadre de gestion des finances publiques de tradition francophone à s’être porté volontaire pour une évaluation de la transparence selon le Code du FMI.
Selon Amadou Ba qui s’exprimait à l’occasion de l’atelier régional sur la transparence budgétaire en Afrique francophone, cette évaluation a permis de placer le Sénégal dans la moyenne des Etats de niveau de revenus et de capacités institutionnelles similaires.
Revenant sur le classement de l’indice sur le budget ouvert (OBI) du FMI, le ministre de l’Economie a informé que le Sénégal se positionne dans ce domaine à la première place en Afrique subsaharienne, avec un score de 51 points sur 100, supérieur de 10 points à la moyenne mondiale.
« Pour atteindre une telle performance, le Sénégal, par la dissémination de la culture de la publication, n’a ménagé aucun effort pour mettre à la disposition du public comme l’atteste l’indice OBI, une documentation budgétaire économique et financière fournie accessible via le portail du Ministère chargé des Finances et les sites métiers de la Direction générale du Budget, de la Direction des Prévisions et des Etudes Economiques (DPEE) et des régies financières (Impôts, Douanes et Trésor) », a dit Amadou Ba.
De même, a-t-il souligné, la mise en œuvre des innovations introduites par les directives de l’UEMOA transposées dans l’architecture juridique sénégalaise a également permis d’aboutir à plusieurs activités telles que l’organisation de débats d’orientation budgétaire à l’Assemblée nationale, ouverts au secteur privé et à la société civile, la présentation du budget national en un document unique, accompagné des annexes pertinentes et la production régulière des états d’exécution et de suivi budgétaire.
Le ministre des Finances a, par ailleurs, rappelé que le Sénégal s’est inscrit, depuis 2017, à la Norme spéciale de diffusion de données (NSDD), devenant ainsi le 4ème pays d’Afrique après l’Afrique du Sud, l’Île Maurice et les Seychelles et le 1er de la zone UEMOA à adhérer à cette norme définie par le FMI.
Tous ces éléments, a-t-il soutenu, devraient permettre au Sénégal de poursuivre sereinement ses avancées en matière de transparence budgétaire.
Avec APA
Selon Amadou Ba qui s’exprimait à l’occasion de l’atelier régional sur la transparence budgétaire en Afrique francophone, cette évaluation a permis de placer le Sénégal dans la moyenne des Etats de niveau de revenus et de capacités institutionnelles similaires.
Revenant sur le classement de l’indice sur le budget ouvert (OBI) du FMI, le ministre de l’Economie a informé que le Sénégal se positionne dans ce domaine à la première place en Afrique subsaharienne, avec un score de 51 points sur 100, supérieur de 10 points à la moyenne mondiale.
« Pour atteindre une telle performance, le Sénégal, par la dissémination de la culture de la publication, n’a ménagé aucun effort pour mettre à la disposition du public comme l’atteste l’indice OBI, une documentation budgétaire économique et financière fournie accessible via le portail du Ministère chargé des Finances et les sites métiers de la Direction générale du Budget, de la Direction des Prévisions et des Etudes Economiques (DPEE) et des régies financières (Impôts, Douanes et Trésor) », a dit Amadou Ba.
De même, a-t-il souligné, la mise en œuvre des innovations introduites par les directives de l’UEMOA transposées dans l’architecture juridique sénégalaise a également permis d’aboutir à plusieurs activités telles que l’organisation de débats d’orientation budgétaire à l’Assemblée nationale, ouverts au secteur privé et à la société civile, la présentation du budget national en un document unique, accompagné des annexes pertinentes et la production régulière des états d’exécution et de suivi budgétaire.
Le ministre des Finances a, par ailleurs, rappelé que le Sénégal s’est inscrit, depuis 2017, à la Norme spéciale de diffusion de données (NSDD), devenant ainsi le 4ème pays d’Afrique après l’Afrique du Sud, l’Île Maurice et les Seychelles et le 1er de la zone UEMOA à adhérer à cette norme définie par le FMI.
Tous ces éléments, a-t-il soutenu, devraient permettre au Sénégal de poursuivre sereinement ses avancées en matière de transparence budgétaire.
Avec APA
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