Ouvert ce lundi 28 février au Palais de justice de Dakar, le procès en appel de l’Imam Alioune Badara Ndao a été renvoyé au 30 mai 2022. Les avocats de la défense disent n’avoir pas eu accès à certains dossiers qui ont fait 2 mois sur la table du juge.
Mais en croire son avocat, Me Moussa Sarr, ce renvoi ne concerne pas son client, mais plutôt 9 autres accusés. « L’appel ne concerne pas l’imam Ndao. Ça concerne les 9 autres accusés. Pour le cas de l’imam Ndao, la décision rendue est définitive, on ne le poursuit plus », a dit la robe noire, face à la presse.
Ce maitre coranique et ses co-accusés sont soupçonnés d’avoir cherché à créer un réseau djihadiste au Sénégal, en lien avec Boko Haram. Il fut le visage d’un feuilleton judiciaire inédit au Sénégal entre 2017 et 2018, sur fond de suspicion de création d’une base djihadiste et de liens avec les organisations terroristes Daesh et Boko Haram.
À l’issue du procès, le juge, qui était chargé de cette affaire l’avait relaxé des principaux chefs d’accusation, dont « apologie du terrorisme », « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et « blanchiment de capitaux », pour lesquels le parquet avait requis 30 ans de prison.
Mais en croire son avocat, Me Moussa Sarr, ce renvoi ne concerne pas son client, mais plutôt 9 autres accusés. « L’appel ne concerne pas l’imam Ndao. Ça concerne les 9 autres accusés. Pour le cas de l’imam Ndao, la décision rendue est définitive, on ne le poursuit plus », a dit la robe noire, face à la presse.
Ce maitre coranique et ses co-accusés sont soupçonnés d’avoir cherché à créer un réseau djihadiste au Sénégal, en lien avec Boko Haram. Il fut le visage d’un feuilleton judiciaire inédit au Sénégal entre 2017 et 2018, sur fond de suspicion de création d’une base djihadiste et de liens avec les organisations terroristes Daesh et Boko Haram.
À l’issue du procès, le juge, qui était chargé de cette affaire l’avait relaxé des principaux chefs d’accusation, dont « apologie du terrorisme », « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste » et « blanchiment de capitaux », pour lesquels le parquet avait requis 30 ans de prison.
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