EN BLEU, M. MAMADOU MORY DIAW, LE MAIRE DE MATAM EN COMPAGNIE DE SON PAIR DE KANEL, M. HAÏMOUTH DAFF, TOUT DE BLANC VÊTU
Ce sont les deux arguments que l’édile de la ville de Matam qui vient de rejoindre la coalition Benno Bokk Yaakaar, avec armes et bagages, a retenu.
«C’est le Parti démocratique sénégalais qui est à l’origine de sa défaite. Parce qu’argue-t-il, ce parti ne peut pas être au pouvoir et envoyer les moyens aux derniers moments. C’est ce qui explique ce revirement. Parce que 80% des responsables politiques de Matam n’ont pas pu disposer de moyens pour travailler convenablement». Et de souligner : «je prends juste mon cas. J’ai été obligé de prendre mes propres moyens pour faire la campagne».
Mieux, s’empresse d’ajouter Mamadou Mory Diaw, «personnellement, j’ai toujours cru que les élections allaient être reportées. Dans la commune de Matam où je suis majoritaire, je n’ai pas du tout fait de campagne à proprement parlée. Parce que tout simplement je me suis toujours mis dans la tête que les élections allaient être reportées».
A la question pourquoi ?, le maire de Matam répond : «compte tenu des manifestations tous azimuts à Dakar (à la Place de l’indépendance) et dans d’autres villes, sincèrement, je n’ai jamais cru qu’on allait partir aux élections. Je n’ai envoyé que mes hommes pour battre campagne. Je ne me suis engagé qu’à quatre jours du scrutin».
Pour le second, il attend sillonner plusieurs villages environnants pour renforcer l’acquis de son candidat Macky Sall dont il dit, va largement gagner à Matam même si le PDS venait à verser plusieurs millions dans la région.
Ardo Diam Ka (APPEL Matam)
«C’est le Parti démocratique sénégalais qui est à l’origine de sa défaite. Parce qu’argue-t-il, ce parti ne peut pas être au pouvoir et envoyer les moyens aux derniers moments. C’est ce qui explique ce revirement. Parce que 80% des responsables politiques de Matam n’ont pas pu disposer de moyens pour travailler convenablement». Et de souligner : «je prends juste mon cas. J’ai été obligé de prendre mes propres moyens pour faire la campagne».
Mieux, s’empresse d’ajouter Mamadou Mory Diaw, «personnellement, j’ai toujours cru que les élections allaient être reportées. Dans la commune de Matam où je suis majoritaire, je n’ai pas du tout fait de campagne à proprement parlée. Parce que tout simplement je me suis toujours mis dans la tête que les élections allaient être reportées».
A la question pourquoi ?, le maire de Matam répond : «compte tenu des manifestations tous azimuts à Dakar (à la Place de l’indépendance) et dans d’autres villes, sincèrement, je n’ai jamais cru qu’on allait partir aux élections. Je n’ai envoyé que mes hommes pour battre campagne. Je ne me suis engagé qu’à quatre jours du scrutin».
Pour le second, il attend sillonner plusieurs villages environnants pour renforcer l’acquis de son candidat Macky Sall dont il dit, va largement gagner à Matam même si le PDS venait à verser plusieurs millions dans la région.
Ardo Diam Ka (APPEL Matam)
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