Neuf personnes sont mortes, dont un Français, et 12 ont été blessées dans le parc naturel W, au nord du Bénin, à la suite de trois attaques à la bombe artisanale mardi et jeudi. Ce parc naturel transfrontalier géré par le Bénin, le Burkina Faso et le Niger. Les victimes sont des gardes forestiers et agents d’African Parks Network (APN), l'ONG de protection de l'environnement qui gère la partie béninoise du parc.
Un premier bilan avait d'abord fait état mercredi de 6 morts et 10 blessés. Parmi les victimes figurait un Français de 50 ans, un ex-militaire et agent des Forces Armées béninoises. Une enquête a été ouverte à Paris par le parquet antiterroriste.
Il s'agit des attaques les plus meurtrières jamais enregistrées par le Bénin, considéré comme un îlot de stabilité en Afrique de l'Ouest, une région où opèrent de nombreux groupes jihadistes liés à Al-Qaïda et à l'organisation Etat islamique (EI).
avec AFP
Un premier bilan avait d'abord fait état mercredi de 6 morts et 10 blessés. Parmi les victimes figurait un Français de 50 ans, un ex-militaire et agent des Forces Armées béninoises. Une enquête a été ouverte à Paris par le parquet antiterroriste.
Il s'agit des attaques les plus meurtrières jamais enregistrées par le Bénin, considéré comme un îlot de stabilité en Afrique de l'Ouest, une région où opèrent de nombreux groupes jihadistes liés à Al-Qaïda et à l'organisation Etat islamique (EI).
avec AFP
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