
Les enquêtes ouvertes par le parquet judiciaire Financier ne visent pas seulement les responsables politiques de l’ancien régime. Les proches de ces derniers ainsi que leurs prêtes noms sont aussi visés.
Dans sa parution de ce lundi, Libération révèle que l’audition d’Abdoulaye Sylla, patron de la société Ecotra, en lien avec une Sci qui appartiendrait à Mame Mbaye Niang, n’était que la face visible de l’iceberg.
En effet, informe le journal, la semaine dernière, Abdoulaye Sylla a été interrogé par la Section des recherches (Sr) de Colobane sur de présumés versements financiers qu’il aurait effectué en faveur d’une Sci soupçonnée d’appartenir à l’ancien ministre Mame Mbaye Niang.
M. Sylla a rejeté en bloc ces accusations. D’ailleurs, il a déposé une plainte contre X pour faux et usage de faux. Mais, selon les informations du journal, le parquet général de Dakar a ordonné une enquête pour faire la lumière sur d’importantes cessions foncières effectuées en faveur de Sci sur les sites comme celui du « Bao » où toutes les opérations ont été suspendues.
La justice soupçonnerait ces Sci (plus d’une trentaine) de porter les intérêts d’anciens dignitaires du régime, de leurs proches ou même de leurs progénitures pour certains cas.
Le canard de renseigner que les enquêteurs ont été instruits de vérifier les conditions dans lesquelles ces cessions ont été effectuées, la régularité des opérations mais aussi les présumés liens entre les dirigeants de ces Sci et des dignitaires de l’ancien régime.
Dans sa parution de ce lundi, Libération révèle que l’audition d’Abdoulaye Sylla, patron de la société Ecotra, en lien avec une Sci qui appartiendrait à Mame Mbaye Niang, n’était que la face visible de l’iceberg.
En effet, informe le journal, la semaine dernière, Abdoulaye Sylla a été interrogé par la Section des recherches (Sr) de Colobane sur de présumés versements financiers qu’il aurait effectué en faveur d’une Sci soupçonnée d’appartenir à l’ancien ministre Mame Mbaye Niang.
M. Sylla a rejeté en bloc ces accusations. D’ailleurs, il a déposé une plainte contre X pour faux et usage de faux. Mais, selon les informations du journal, le parquet général de Dakar a ordonné une enquête pour faire la lumière sur d’importantes cessions foncières effectuées en faveur de Sci sur les sites comme celui du « Bao » où toutes les opérations ont été suspendues.
La justice soupçonnerait ces Sci (plus d’une trentaine) de porter les intérêts d’anciens dignitaires du régime, de leurs proches ou même de leurs progénitures pour certains cas.
Le canard de renseigner que les enquêteurs ont été instruits de vérifier les conditions dans lesquelles ces cessions ont été effectuées, la régularité des opérations mais aussi les présumés liens entre les dirigeants de ces Sci et des dignitaires de l’ancien régime.
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