L’accident s’est produit à Dassa, loin de Parakou, point de départ du bus et à 200 km de Cotonou.
Les familles n’avaient pas toutes les informations sur le sort de leurs proches. Le ministre de la Santé leur a donné rendez-vous au Palais des congrès ce lundi matin où une cellule d’accompagnement a été installée.
Quelques dizaines de familles étaient présentes. Après les condoléances du gouvernement, le ministre de la Santé Benjamin Hounkpatin a choisi la méthode suivante pour dire les choses : « Ceux dont vous n’entendrez pas les noms, malheureusement, seront comptabilisés parmi ceux qui sont décédés. »
Nos compassions aux familles éplorées. Tout le Gouvernement est mobilisé pour que nos compatriotes qui ont pu survivre bénéficient des soins les plus appropriés. Nous allons poursuivre le travail pour sécuriser nos routes. Nous sommes engagés à combattre l'excès de vitesse... pic.twitter.com/5Badz9P8yc
Il donne la parole à un de ses conseillers qui égrène le nom des rescapés.
Quand il prononce les derniers noms, certaines familles comprennent que leurs proches ont péri dans les flammes. C’est le choc.
La séance s’achève de fait, les familles éplorées sont orientées vers l’équipe de psychologues et de médecin qui animent la cellule de crise. Le bilan s’est alourdi, il passe de 20 à 22 morts.
Les familles n’avaient pas toutes les informations sur le sort de leurs proches. Le ministre de la Santé leur a donné rendez-vous au Palais des congrès ce lundi matin où une cellule d’accompagnement a été installée.
Quelques dizaines de familles étaient présentes. Après les condoléances du gouvernement, le ministre de la Santé Benjamin Hounkpatin a choisi la méthode suivante pour dire les choses : « Ceux dont vous n’entendrez pas les noms, malheureusement, seront comptabilisés parmi ceux qui sont décédés. »
Nos compassions aux familles éplorées. Tout le Gouvernement est mobilisé pour que nos compatriotes qui ont pu survivre bénéficient des soins les plus appropriés. Nous allons poursuivre le travail pour sécuriser nos routes. Nous sommes engagés à combattre l'excès de vitesse... pic.twitter.com/5Badz9P8yc
Il donne la parole à un de ses conseillers qui égrène le nom des rescapés.
Quand il prononce les derniers noms, certaines familles comprennent que leurs proches ont péri dans les flammes. C’est le choc.
La séance s’achève de fait, les familles éplorées sont orientées vers l’équipe de psychologues et de médecin qui animent la cellule de crise. Le bilan s’est alourdi, il passe de 20 à 22 morts.
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