Les victimes de violences politiques dans le département de Bignona et leurs ayants droits étaient en conclave avec le forum civil pour un atelier de restitution sur la lutte contre l'impunité des violences politiques survenues entre 2021 et 2024.
Lors de cette rencontre, plusieurs points ont été abordés par les participants. Il s'agit notamment des questions relatives à la « loi d'amnistie, aux sanctions contre les responsables des saccages des édifices publics et privés, à l’absence d’enquêtes pour situer les responsabilités, au déficit de suivi et d’accompagnement des victimes etc. »
Pour rappel, le département a enregistré 6 morts lors des récents troubles politiques de la région. La bataille du collectif des victimes est d'obtenir gain de cause pour la voie judiciaire. En ce sens, il réclame de faire toute la lumière sur ces affaires.
« Les participants à l’atelier de restitution de Bignona restent déterminés à œuvre aux côtés des nouvelles autorités pour que justice soit rendue à toutes les victimes des atrocités et violences que nous avons vécu entre mars 2021 et 2024. À la suite des échanges de l’atelier de restitutions, les recommandations suivantes ont été faites », précise le communiqué dudit collectif.
À cet effet, le collectif exige des autorités une série de mesures. Il s'agit notamment de « l’abrogation de la loi d’Amnistie, la diligence des enquêtes indépendantes pour situer les responsabilités lors des évènements survenus entre 2021 et 2024, la mise en place d’une structure indépendante en charge de la gestion des victimes des violences politiques, le recensement exhaustif de toutes les victimes, la prise en charge médicale continue des victimes des violences politiques et l'humanisation des lieux de privation de Libertés ».
Lors de cette rencontre, plusieurs points ont été abordés par les participants. Il s'agit notamment des questions relatives à la « loi d'amnistie, aux sanctions contre les responsables des saccages des édifices publics et privés, à l’absence d’enquêtes pour situer les responsabilités, au déficit de suivi et d’accompagnement des victimes etc. »
Pour rappel, le département a enregistré 6 morts lors des récents troubles politiques de la région. La bataille du collectif des victimes est d'obtenir gain de cause pour la voie judiciaire. En ce sens, il réclame de faire toute la lumière sur ces affaires.
« Les participants à l’atelier de restitution de Bignona restent déterminés à œuvre aux côtés des nouvelles autorités pour que justice soit rendue à toutes les victimes des atrocités et violences que nous avons vécu entre mars 2021 et 2024. À la suite des échanges de l’atelier de restitutions, les recommandations suivantes ont été faites », précise le communiqué dudit collectif.
À cet effet, le collectif exige des autorités une série de mesures. Il s'agit notamment de « l’abrogation de la loi d’Amnistie, la diligence des enquêtes indépendantes pour situer les responsabilités lors des évènements survenus entre 2021 et 2024, la mise en place d’une structure indépendante en charge de la gestion des victimes des violences politiques, le recensement exhaustif de toutes les victimes, la prise en charge médicale continue des victimes des violences politiques et l'humanisation des lieux de privation de Libertés ».
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