Certaines chancelleries avaient même conseillé à leurs ressortissants d’éviter plusieurs parties de la capitale suite à ces tirs sporadiques. Dans l’après-midi du 23 août, le gouvernement a fait un communiqué pour expliquer qu’il s’agissait d’une manifestation de colère des soldats contre l’attaque du détachement militaire de Koutougou. Il a également assuré que le calme est revenu au sein du camp.
Selon une source sécuritaire, des soldats exigeaient de nouvelles mesures et conditions avant leur redéploiement sur le site attaqué. Après des échanges avec l’état-major général des armées, des promesses ont été faites et le calme est revenu.
Pas le premier incident
Ce n’est pas le premier incident survenu dans ce camp, depuis l’attaque du détachement militaire de Koutougou et son lourd bilan. Dans la matinée du mercredi 21 août, des soldats avaient tenté de barricader l’entrée du camp pour empêcher certains supérieurs hiérarchiques d’y accéder.
L’état-major général des armées avait également diffusé un communiqué qui parlait d’« une vive émotion » ressentie au sein des unités dont des soldats avaient été victimes de l’attaque de Koutougou. En fait, les militaires dénonçaient plutôt les conditions de prise en charge de leurs camarades blessés au cours de l’attaque, selon notre témoin.
Selon une source sécuritaire, des soldats exigeaient de nouvelles mesures et conditions avant leur redéploiement sur le site attaqué. Après des échanges avec l’état-major général des armées, des promesses ont été faites et le calme est revenu.
Pas le premier incident
Ce n’est pas le premier incident survenu dans ce camp, depuis l’attaque du détachement militaire de Koutougou et son lourd bilan. Dans la matinée du mercredi 21 août, des soldats avaient tenté de barricader l’entrée du camp pour empêcher certains supérieurs hiérarchiques d’y accéder.
L’état-major général des armées avait également diffusé un communiqué qui parlait d’« une vive émotion » ressentie au sein des unités dont des soldats avaient été victimes de l’attaque de Koutougou. En fait, les militaires dénonçaient plutôt les conditions de prise en charge de leurs camarades blessés au cours de l’attaque, selon notre témoin.
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