
Le lieutenant-colonel Paul Henri Sandaogo Damiba, à la tête du Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration (MPSR), a suspendu la Constitution burkinabè, dissout le Gouvernement et l’Assemblée nationale.
Ces militaires mettent en avant l’incapacité du régime de Roch Kaboré à sécuriser les populations et leurs biens sur tout le territoire national et veulent ramener la situation à la normale et redonner au Burkina Faso, sa souveraineté.
Ils s’engagent à proposer, après consultation des forces vives de la nation, un calendrier de retour à un ordre constitutionnel accepté de tous, tout en invitant les populations à vaguer de leurs occupations.
Au pouvoir depuis 2015, Roch Marc Christian Kaboré a été réélu en 2020 sur la promesse de faire de la lutte anti-jihadiste sa priorité. Mais il est désormais accusé par une grande partie de la population excédée par la violence, d’être incapable de contrer les groupes djihadistes.
Ces militaires mettent en avant l’incapacité du régime de Roch Kaboré à sécuriser les populations et leurs biens sur tout le territoire national et veulent ramener la situation à la normale et redonner au Burkina Faso, sa souveraineté.
Ils s’engagent à proposer, après consultation des forces vives de la nation, un calendrier de retour à un ordre constitutionnel accepté de tous, tout en invitant les populations à vaguer de leurs occupations.
Au pouvoir depuis 2015, Roch Marc Christian Kaboré a été réélu en 2020 sur la promesse de faire de la lutte anti-jihadiste sa priorité. Mais il est désormais accusé par une grande partie de la population excédée par la violence, d’être incapable de contrer les groupes djihadistes.
Autres articles
-
Mali : l'ONU exige une enquête "indépendante immédiate" sur de possibles crimes commis par le Wagner
-
Émeutes meurtrières en Ouzbékistan: 16 ans de prison pour le principal accusé
-
Burkina Faso: au moins treize (13) morts lors d'une attaque dans le nord du pays
-
Explosion dans une mosquée au Pakistan: le bilan monte à 83 morts (hôpital)
-
Mauritanie: l'ex-président Aziz appelé pour la 1er fois à la barre