«Aujourd’hui le marché alimentaire du halal représente 20% des échanges alimentaires mondiaux et il est estimé à 670 milliards de dollars américains avec une croissance annuelle qui porte sur 15% ». Rien qu’en Afrique, le potentiel de ce marché alimentaire du Halal est estimé à 150 milliards de dollars, a déclaré le premier ministre Mouhammed Boun Abdallah Dionne, venu procéder à l’ouverture du premier salon dédié au marché du halal.
Le Pm est toutefois d’avis que pour capter ce flux financier, «il faut accélérer l’expansion du marché alimentaire du halal, il faut lever un certain nombre de contraintes dont les barrières non tarifaires parmi lesquelles un cadre réglementaire complexe qui varie d’un pays à un autre et d’une région à une autre», souligne le Pm. C’est pourquoi, recommande-t-il, une approche coordonnée de l’Organisation pour la Conférence Islamique doit être menée pour l’harmonisation des règles sur la normalisation et la certification des produits halals. Cela va permettre, selon lui, d’une part de développer la chaine de valeur des produits halal, les produits agro-alimentaire et d’autre part de booster les échanges commerciaux entre les pays membres de l’Oci.
Un forum va servir de panel aux participants de se pencher sur les thématiques suivantes : les enjeux du business halal en Afrique, les opportunités d’affaires et d’investissement de ce business pour les économies africaines sans compter les rencontres B2B.
Le premier forum sur le halal est organisé sous l’égide du ministère du commerce en partenariat avec le Salon International du business musulman (Sibm), le Centre Islamique pour le développement du commerce (Cidc), affilié à l’Organisation de la Coopération Islamique (Oci), la Fédération des chambres de commerce des pays du Golfe (Fccg), et l’Oci Business Center de la Malaisie. Ce premier forum du genre au Sénégal prend fin ce samedi.
Le Pm est toutefois d’avis que pour capter ce flux financier, «il faut accélérer l’expansion du marché alimentaire du halal, il faut lever un certain nombre de contraintes dont les barrières non tarifaires parmi lesquelles un cadre réglementaire complexe qui varie d’un pays à un autre et d’une région à une autre», souligne le Pm. C’est pourquoi, recommande-t-il, une approche coordonnée de l’Organisation pour la Conférence Islamique doit être menée pour l’harmonisation des règles sur la normalisation et la certification des produits halals. Cela va permettre, selon lui, d’une part de développer la chaine de valeur des produits halal, les produits agro-alimentaire et d’autre part de booster les échanges commerciaux entre les pays membres de l’Oci.
Un forum va servir de panel aux participants de se pencher sur les thématiques suivantes : les enjeux du business halal en Afrique, les opportunités d’affaires et d’investissement de ce business pour les économies africaines sans compter les rencontres B2B.
Le premier forum sur le halal est organisé sous l’égide du ministère du commerce en partenariat avec le Salon International du business musulman (Sibm), le Centre Islamique pour le développement du commerce (Cidc), affilié à l’Organisation de la Coopération Islamique (Oci), la Fédération des chambres de commerce des pays du Golfe (Fccg), et l’Oci Business Center de la Malaisie. Ce premier forum du genre au Sénégal prend fin ce samedi.
Autres articles
-
Reclassement des techniciens supérieurs, catégorisation de techniciens (TSS), hiérarchie A2 : les techniciens se révoltent
-
Dakar : une collection de chaussures lancée pour questionner l’impact des modèles industriels dominants
-
Turquie : le maire de Thiès vole au secours des sénégalais emprisonnés pour séjour irrégulier
-
«Le FCFA est un instrument de domination et d’oppression de tous les pays… », Guy Marius Sagna
-
Les marcheurs, un aspect important du pèlerinage marial de Popenguine, selon l’archevêque de Dakar