Il s’agit de 50 millions de dollars, pour commencer, mais il n’est pas précisé si cette somme sera annuelle ou sur une période donnée. Cette annonce de partenariat avait déjà été faite par le président français, Emmanuel Macron, lui-même, lors de son passage, la semaine dernière, à Dubaï.
En termes simples, il s’agit de payer les États qui protègent leurs écosystèmes forestiers, ce qui est le cas du Congo-Brazzaville dont plus de 65 % du territoire est couvert par les forêts et dont le taux de déforestation est quasi nul.
Deuxième poumon vert de la planète
Ces forêts tropicales s’étendent sur plusieurs pays de la sous-région, du Gabon à la République démocratique du Congo, en passant par la Guinée équatoriale, le Cameroun et la Centrafrique, faisant ainsi de ces 200 millions d’hectares de couvert forestier d’Afrique centrale, le deuxième poumon vert de la planète, après l’Amazonie.
Alors l’enjeu est de taille car les forêts sont de puissants capteurs de carbone et selon le Centre de coopération international en recherche agronomique pour le développement (Cirad), l’Afrique centrale est désormais le seul endroit de la planète où les forêts absorbent le plus de CO2 qu’elles n’en rejettent. La région est donc un bon élève de la préservation de sa biodiversité, mais cette dernière est quand même menacée, depuis les années 2010, du fait de la hausse démographique qui pousse à la déforestation.
En termes simples, il s’agit de payer les États qui protègent leurs écosystèmes forestiers, ce qui est le cas du Congo-Brazzaville dont plus de 65 % du territoire est couvert par les forêts et dont le taux de déforestation est quasi nul.
Deuxième poumon vert de la planète
Ces forêts tropicales s’étendent sur plusieurs pays de la sous-région, du Gabon à la République démocratique du Congo, en passant par la Guinée équatoriale, le Cameroun et la Centrafrique, faisant ainsi de ces 200 millions d’hectares de couvert forestier d’Afrique centrale, le deuxième poumon vert de la planète, après l’Amazonie.
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