Âgé de 69 ans, le journaliste camerounais Amadou Vamoulké est en détention provisoire depuis plus de trois ans pour « détournements de fonds publics ». Le procès de celui qu’on surnomme « le doyen » ou « Monsieur Propre » a déjà été renvoyé à 21 reprises. La prochaine audience doit, en principe, se tenir le 16 septembre à Yaoundé.
« Amadou est malade et actuellement, on doit pratiquer une biopsie qui malheureusement ne peut pas l’être au Cameroun et encore moins en prison », nous explique Alice Nkom, l'avocate d'Amadou Vamoulké, qui a l’intention de demander sa libération provisoire.
« C’était ma hantise, poursuit-elle. J’ai toujours eu très peur qu'Amadou tombe malade en prison parce que compte tenu de la façon dont se déroule son procès où on veut absolument le maintenir en prison, le punir pour de longues années, j’ai bien peur qu’on ne soit obligé de sacrifier sa vie, c’est-à-dire sa santé, ce qui serait une catastrophe ».
Lors de la prochaine audience, l'avocate d'Amadou Vamoulké va essayer de demander sa mise en liberté provisoire, pour qu’il puisse se soigner « car c'est un droit, le droit à la vie, le droit à la santé, tout à fait fondamental ».
« Amadou est malade et actuellement, on doit pratiquer une biopsie qui malheureusement ne peut pas l’être au Cameroun et encore moins en prison », nous explique Alice Nkom, l'avocate d'Amadou Vamoulké, qui a l’intention de demander sa libération provisoire.
« C’était ma hantise, poursuit-elle. J’ai toujours eu très peur qu'Amadou tombe malade en prison parce que compte tenu de la façon dont se déroule son procès où on veut absolument le maintenir en prison, le punir pour de longues années, j’ai bien peur qu’on ne soit obligé de sacrifier sa vie, c’est-à-dire sa santé, ce qui serait une catastrophe ».
Lors de la prochaine audience, l'avocate d'Amadou Vamoulké va essayer de demander sa mise en liberté provisoire, pour qu’il puisse se soigner « car c'est un droit, le droit à la vie, le droit à la santé, tout à fait fondamental ».
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