L’OAPI citée dans une affaire… d’occupation illégale d’une propriété foncière. Cette histoire vieille de dix ans pourrait-elle devenir le nouveau feuilleton judiciaire ? À l’origine de ce litige, explique Jeune Afrique, la décision prise par l’organisation africaine, en mai 2010, de construire son nouveau siège sur un terrain jouxtant celui qu’elle occupait jusqu’alors place de la Préfecture, non loin de l’avenue des Banques, en plein cœur de Yaoundé. Une parcelle de 2 016 m2, enregistrée au cadastre de la ville sous le lot 277.
À cette époque, poursuit le journal : aucune des personnalités conviées à la cérémonie de pose de la première pierre en mai 2011, ni à l’inauguration en mai 2014, ne se doute du scandale foncier qui sommeille sous les fondations de cet immeuble de onze niveaux. En 2015, Pierre Goudiaby Atepa revendique en effet la propriété du terrain.
À cette époque, poursuit le journal : aucune des personnalités conviées à la cérémonie de pose de la première pierre en mai 2011, ni à l’inauguration en mai 2014, ne se doute du scandale foncier qui sommeille sous les fondations de cet immeuble de onze niveaux. En 2015, Pierre Goudiaby Atepa revendique en effet la propriété du terrain.
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