En apparence, ce sont des événements isolés. Quel rapport, en effet, entre une mesure prise par la Chine, lundi 27 décembre, pour limiter les investissements étrangers dans les start-up tech chinoises, des bateaux chinois qui disparaissent régulièrement des radars depuis plus d’un mois et Didi, le concurrent chinois d’Uber, poussé début décembre par Pékin à quitter la Bourse de New York ?
En réalité, il y a un fil rouge : l’obsession du Parti communiste chinois pour le contrôle de la circulation des données économiques jugées sensibles. “L’économie chinoise a toujours été une grande boîte noire pour les observateurs extérieurs, mais elle est devenue encore plus opaque”, constate Stephen Nagy, spécialiste du commerce en Asie à l’université internationale chrétienne de Tokyo, interrogé par le Wall Street Journal pour une longue enquête sur l’opacité grandissante de l’économie chinoise en cette fin d’année, publiée début décembre.
Le “mystère” des bateaux chinois qui disparaissent
Ainsi, la décision du 27 décembre de ne plus autoriser les investisseurs étrangers à utiliser certains montages financiers compliqués pour entrer au capital de start-up tech chinoises sans l’accord de Pékin doit permettre aux autorités “de savoir plus précisément à quel genre de données les investisseurs étrangers peuvent avoir accès”, note le Financial Times.
En réalité, il y a un fil rouge : l’obsession du Parti communiste chinois pour le contrôle de la circulation des données économiques jugées sensibles. “L’économie chinoise a toujours été une grande boîte noire pour les observateurs extérieurs, mais elle est devenue encore plus opaque”, constate Stephen Nagy, spécialiste du commerce en Asie à l’université internationale chrétienne de Tokyo, interrogé par le Wall Street Journal pour une longue enquête sur l’opacité grandissante de l’économie chinoise en cette fin d’année, publiée début décembre.
Le “mystère” des bateaux chinois qui disparaissent
Ainsi, la décision du 27 décembre de ne plus autoriser les investisseurs étrangers à utiliser certains montages financiers compliqués pour entrer au capital de start-up tech chinoises sans l’accord de Pékin doit permettre aux autorités “de savoir plus précisément à quel genre de données les investisseurs étrangers peuvent avoir accès”, note le Financial Times.
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