L’état d’urgence et le couvre-feu décrétés par le président Macky Sall, dans le cadre de la lutte contre la propagation du coronavirus envoient en chômage partielle les femmes de nuit. Pour se protéger, elles aussi ne manquent pas d’astuces.
« Je loge dans mon appartement avec une copine. J’ai un thermoflash et du gel hydroalcoolique, un dispositif de lavage de mains. Comme dans les entreprises et autres lieu publics, je prends la température de tous mes clients. Le pharmacien du coin m’a montré comment utiliser un thermo-flash », confie M.S.T à L’Observateur.
Elle a fait savoir que certains clients passent la nuit avec un tarif spécial, d’autres viennent la journée entre 15h et 18 heures. « Je m’organise avec mon téléphone de sorite à éviter un télescopage entre clients. Sincèrement, je n’ai aucun problème, ce sont les folles ambiances de soirées surtout aux Almadies, qui manquent ».
Dans une autre vie F.F était mariée et ne songeait pas à pratiquer le plus vieux des métiers. Son divorce en 2012 l’a basculée sur le trottoir. « J’ai intégré la prostitution avec le conseil d’un ami Barman. Il m’a proposé des clients qui étaient prêts é débourser des sommes conséquentes. Depuis lors, c’est devenu mon métier ».
Ces femmes de nuit prient pour le retour à la normale dans la plus grande sécurité. Elles appellent leurs amies au respect des mesures édictées par les autorités sanitaires, pour lutter contre le coronavirus.
« Je loge dans mon appartement avec une copine. J’ai un thermoflash et du gel hydroalcoolique, un dispositif de lavage de mains. Comme dans les entreprises et autres lieu publics, je prends la température de tous mes clients. Le pharmacien du coin m’a montré comment utiliser un thermo-flash », confie M.S.T à L’Observateur.
Elle a fait savoir que certains clients passent la nuit avec un tarif spécial, d’autres viennent la journée entre 15h et 18 heures. « Je m’organise avec mon téléphone de sorite à éviter un télescopage entre clients. Sincèrement, je n’ai aucun problème, ce sont les folles ambiances de soirées surtout aux Almadies, qui manquent ».
Dans une autre vie F.F était mariée et ne songeait pas à pratiquer le plus vieux des métiers. Son divorce en 2012 l’a basculée sur le trottoir. « J’ai intégré la prostitution avec le conseil d’un ami Barman. Il m’a proposé des clients qui étaient prêts é débourser des sommes conséquentes. Depuis lors, c’est devenu mon métier ».
Ces femmes de nuit prient pour le retour à la normale dans la plus grande sécurité. Elles appellent leurs amies au respect des mesures édictées par les autorités sanitaires, pour lutter contre le coronavirus.
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