Le Parti des peuples africains – Côte d’Ivoire (PPA-CI) dénonce une manœuvre politique. Stéphane Kipré, proche de Laurent Gbagbo, met en garde contre les conséquences de cette exclusion.
Pour lui, priver l’ancien président de ses droits électoraux fragilise la démocratie. Le parti exige une révision de la liste électorale afin d’y inclure son leader avant la Présidentielle 2025.
En Côte d’Ivoire, la liste électorale provisoire reste modifiable. Les citoyens et les partis peuvent contester les omissions ou signaler des erreurs.
Mais dans le cas de Laurent Gbagbo, la situation semble plus complexe. Sa radiation découle d’une décision judiciaire, et seule une mesure exceptionnelle pourrait annuler cette sanction.
Cette exclusion suscite des interrogations sur la Présidentielle 2025. Le PPA-CI, qui comptait sur Laurent Gbagbo comme candidat, doit envisager d’autres options.
Deux noms circulent comme alternatives : Pascal Affi N’Guessan et Ahoua Don Mello. Cependant, le parti reste focalisé sur la bataille pour la réintégration de Laurent Gbagbo sur la liste électorale.
L’ancien président, de son côté, appelle à une élection transparente et inclusive. Il insiste sur la nécessité de garantir un scrutin équitable pour éviter toute crise post-électorale.
Laurent Gbagbo réclame aussi une refonte de la Commission électorale indépendante, qu’il juge trop proche du pouvoir en place.
Le gouvernement, lui, défend la légalité de la radiation. Pour les autorités, la condamnation de Laurent Gbagbo justifie son exclusion. Elles rappellent que la loi interdit l’inscription d’une personne privée de ses droits civiques.
La question de l’éligibilité de Laurent Gbagbo reste donc en suspens. Son camp compte sur une mobilisation politique et juridique pour renverser la situation.
Mais les chances d’un revirement semblent minces. La liste électorale définitive sera publiée après la période de révision. Si aucune modification n’intervient, Laurent Gbagbo restera hors course pour la Présidentielle 2025.
Cette situation ravive les tensions politiques en Côte d’Ivoire. L’opposition craint une élection verrouillée et une contestation populaire. L’issue de cette affaire pourrait influencer le climat politique et social du pays à l’approche du scrutin.
Pour lui, priver l’ancien président de ses droits électoraux fragilise la démocratie. Le parti exige une révision de la liste électorale afin d’y inclure son leader avant la Présidentielle 2025.
En Côte d’Ivoire, la liste électorale provisoire reste modifiable. Les citoyens et les partis peuvent contester les omissions ou signaler des erreurs.
Mais dans le cas de Laurent Gbagbo, la situation semble plus complexe. Sa radiation découle d’une décision judiciaire, et seule une mesure exceptionnelle pourrait annuler cette sanction.
Cette exclusion suscite des interrogations sur la Présidentielle 2025. Le PPA-CI, qui comptait sur Laurent Gbagbo comme candidat, doit envisager d’autres options.
Deux noms circulent comme alternatives : Pascal Affi N’Guessan et Ahoua Don Mello. Cependant, le parti reste focalisé sur la bataille pour la réintégration de Laurent Gbagbo sur la liste électorale.
L’ancien président, de son côté, appelle à une élection transparente et inclusive. Il insiste sur la nécessité de garantir un scrutin équitable pour éviter toute crise post-électorale.
Laurent Gbagbo réclame aussi une refonte de la Commission électorale indépendante, qu’il juge trop proche du pouvoir en place.
Le gouvernement, lui, défend la légalité de la radiation. Pour les autorités, la condamnation de Laurent Gbagbo justifie son exclusion. Elles rappellent que la loi interdit l’inscription d’une personne privée de ses droits civiques.
La question de l’éligibilité de Laurent Gbagbo reste donc en suspens. Son camp compte sur une mobilisation politique et juridique pour renverser la situation.
Mais les chances d’un revirement semblent minces. La liste électorale définitive sera publiée après la période de révision. Si aucune modification n’intervient, Laurent Gbagbo restera hors course pour la Présidentielle 2025.
Cette situation ravive les tensions politiques en Côte d’Ivoire. L’opposition craint une élection verrouillée et une contestation populaire. L’issue de cette affaire pourrait influencer le climat politique et social du pays à l’approche du scrutin.
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