Moïse Lida Kouassi, ici avec avec son homologue du Togo le général Tijany (g) à la réunion de la Cédéao, le 22 Septembre 2002 à Abidjan. AFP PHOTO ISSOUF SANOGO.
Deux jours après l'arrestation de Moïse Lida Kouassià Lomé au Togo et son extradition à Abidjan, le FPI, Front populaire ivoirien, est sorti de son silence. Michel Amani N’Guessan, chargé de la sécurité au FPI, dénonce les pressions et brutalités que subissent les militants de son parti, de la part des forces gouvernementales et cela sans impunité. Il dénonce une justice sélective, une justice de vainqueurs.
Michel Amani N'Guessan, Chargé sécurité au FPI, Front populaire ivoirien: "Nous militants du FPI, nous pouvons donner la preuve des exactions commises par les pro-Ouattara dans ce pays. Rien n'est fait pour arrêter cela".
Calixthe Beyala dans le colimateur
Elle s'était faite remarquer, au début de la crise postélectorale, en venant à Abidjan apporter un soutien appuyé à Laurent Gbagbo. L'auteure française d'origine camerounaise Calixthe Beyala est, elle aussi, dans le colimateur de la justice ivoirienne. Le parquet d'Abidjan a annoncé hier qu'une commission rogatoire avait été transmise aux autorités judiciaires françaises contre l'auteure pour des faits de recel de fonds volés ou détournés et de blanchiment de capitaux.
Selon ce communiqué de presse du parquet, elle aurait reçu l'équivalant de 200.000 euros pour le réglement de «prétendus droits d'auteur». L'argent aurait été prélevé sur des comptes appartenant à l'une des filles de Simone Gbagbo, l'ancienne Première dame de la Côte d'Ivoire.
Source: RFI
Michel Amani N'Guessan, Chargé sécurité au FPI, Front populaire ivoirien: "Nous militants du FPI, nous pouvons donner la preuve des exactions commises par les pro-Ouattara dans ce pays. Rien n'est fait pour arrêter cela".
Calixthe Beyala dans le colimateur
Elle s'était faite remarquer, au début de la crise postélectorale, en venant à Abidjan apporter un soutien appuyé à Laurent Gbagbo. L'auteure française d'origine camerounaise Calixthe Beyala est, elle aussi, dans le colimateur de la justice ivoirienne. Le parquet d'Abidjan a annoncé hier qu'une commission rogatoire avait été transmise aux autorités judiciaires françaises contre l'auteure pour des faits de recel de fonds volés ou détournés et de blanchiment de capitaux.
Selon ce communiqué de presse du parquet, elle aurait reçu l'équivalant de 200.000 euros pour le réglement de «prétendus droits d'auteur». L'argent aurait été prélevé sur des comptes appartenant à l'une des filles de Simone Gbagbo, l'ancienne Première dame de la Côte d'Ivoire.
Source: RFI
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