Avec l’ouverture des frontières aériennes, les autorités sénégalaises mènent une réflexion pour freiner la propagation du coronavirus. Il s’agit de prélever tous les voyageurs dès leur arrivée à l’aéroport de Dakar. Mais, Dr Abdoulaye Bousso, Directeur du Centre des opérations d'urgence sanitaire (COUS), a indiqué jeudi que « c’est une stratégie qui n’est pas viable ».
« C’est une stratégie qui n’est pas viable, parce que si on arrive à avoir plus de 1.000 passagers arrivant au même moment, comme on a l’habitude de le voir, techniquement, il va être très difficile de faire les tests », a dit Dr Bousso, ajoutant que « c’est une réflexion qui va être approfondie et validée par les autorités ».
Le mieux pour lui, « c’est de faire le test avant d’entrer dans le territoire sénégalais, ce qui permettra de réduire le taux de cas importés ». Pour les personnes qui doivent voyager, « cette situation va se poser pour le départ ». Et un ou des laboratoires seront désignés pour faire ces tests au Sénégal.
Pour les frais, a-t-il poursuivi, « un débat sera tenu pour savoir si ce sera à la charge du voyageur ou à la charge de l’Etat du Sénégal ». Au stade où nous sommes, Dr Abdoulaye Bousso a rappelé l’importance du respect des mesures barrières pour arriver à maitriser la maladie.
« C’est une stratégie qui n’est pas viable, parce que si on arrive à avoir plus de 1.000 passagers arrivant au même moment, comme on a l’habitude de le voir, techniquement, il va être très difficile de faire les tests », a dit Dr Bousso, ajoutant que « c’est une réflexion qui va être approfondie et validée par les autorités ».
Le mieux pour lui, « c’est de faire le test avant d’entrer dans le territoire sénégalais, ce qui permettra de réduire le taux de cas importés ». Pour les personnes qui doivent voyager, « cette situation va se poser pour le départ ». Et un ou des laboratoires seront désignés pour faire ces tests au Sénégal.
Pour les frais, a-t-il poursuivi, « un débat sera tenu pour savoir si ce sera à la charge du voyageur ou à la charge de l’Etat du Sénégal ». Au stade où nous sommes, Dr Abdoulaye Bousso a rappelé l’importance du respect des mesures barrières pour arriver à maitriser la maladie.
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