L’audience reprise à 19 h 24 mn après plus d’une heure de suspension, Me Demba Ciré Bathily est à la barre. «C’est avec un grand honneur que je défends Barthélémy Dias», entame la robe noire qui ne veut pas de la présentation qu’on fait de son client «comme un homme arrogant». «Tout cela est faux», tranche-t-il.
«Si Barthélémy Dias n’était pas un homme de valeurs, il ne serait pas là aujourd’hui», insiste Me Demba Ciré Bathily qui décrit «un homme de principes et engagé».
Et de déplorer le fait que «des gens qui ont choisi de participer à la construction de la République, l’amélioration de la condition de tous» soient dévoyés par «d’autres qui n’ont aucun engagement en dehors d’eux-mêmes».
Précisant qu’ils n’accepteront pas qu’on fasse de ce procès, «un procès politique», le Conseil indique que «certains veulent sa tête et cela ressort même du réquisitoire du Procureur».
«Le seul motif, c’est que c’est un redoutable adversaire politique et qu’on veut l’empêcher de participer aux prochaines élections législatives», argumente-t-il.
«Les constantes de cette affaire, c’est qu’il y a eu une attaque à la mairie de Mermoz – Sacré Cœur, une attaque préparée. Cela résulte des faits que des gens étaient venus en véhicules et certains étaient masqués. Il y a eu l’intervention de la police qui n’a pas pu empêcher que les choses dégénèrent».
Précisant qu’ils ne veulent pas de la légitime défense, Me Demba Ciré Bathily soutient que cela voudrait dire qu’il (Barthélémy Dias) accepte qu’il est l’auteur du crime de Ndiaga Diouf. Ce, alors que «ce n’est pas l’arme de Barthélémy Dias qui a tiré sur Ndiaga Diouf», clôt-il.
«Si Barthélémy Dias n’était pas un homme de valeurs, il ne serait pas là aujourd’hui», insiste Me Demba Ciré Bathily qui décrit «un homme de principes et engagé».
Et de déplorer le fait que «des gens qui ont choisi de participer à la construction de la République, l’amélioration de la condition de tous» soient dévoyés par «d’autres qui n’ont aucun engagement en dehors d’eux-mêmes».
Précisant qu’ils n’accepteront pas qu’on fasse de ce procès, «un procès politique», le Conseil indique que «certains veulent sa tête et cela ressort même du réquisitoire du Procureur».
«Le seul motif, c’est que c’est un redoutable adversaire politique et qu’on veut l’empêcher de participer aux prochaines élections législatives», argumente-t-il.
«Les constantes de cette affaire, c’est qu’il y a eu une attaque à la mairie de Mermoz – Sacré Cœur, une attaque préparée. Cela résulte des faits que des gens étaient venus en véhicules et certains étaient masqués. Il y a eu l’intervention de la police qui n’a pas pu empêcher que les choses dégénèrent».
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