Un bruit de rechargement de munitions se fait entendre : c'est un jour relativement calme où on entend les oiseaux mais les armes sont toutes chargées. Silence sur le sentier à découvert en sortant de la base militaire puis on progresse dans la forêt à distance les uns des autres, on regarde où on met ses pieds.
Un des soldats pro-russes indique : « Vous voyez là dans cette forêt verte ? C’est une barrière difficile à franchir. Avec des mines antipersonnelles mais aussi, des choses plus élémentaires : des branches, des clous et des barbelés. »
Derrière ce barrage à peine visible dans les branchages, les derniers troncs, puis la plaine au-dessus des cimes des arbres, l'ennemi le plus souvent invisible, les drones.
Le soldat les connaît bien : « Je ne peux pas dire avec certitude s'il y en a au-dessus de nous en ce moment. S’ils volent bas, peut-être qu’on les entendra. Mais ils sont très difficiles à remarquer, très difficiles. Quand ça vole bas, on les entend bourdonner, et là on peut les abattre. »
À moins d'un kilomètre, les premières tranchées ukrainiennes avant Avdiïvka, la forteresse retranchée. « On ne sait foutrement pas combien ils sont là-bas… mais il y en a beaucoup, beaucoup. Voyez, là, ce sont nos positions, nos tranchées enterrées, et là, les embrasures. C’est d’ici que ça tire, si soudainement ils attaquent. On regarde tout le temps. On vit ici », témoigne un autre fantassin.
Des balles fusent. Dans une journée calme, parfois une escarmouche, les jours plus compliqués, les échanges de tirs et les bombardements ukrainiens. Il y a une dizaine de jours, ces derniers étaient nombreux à atteindre le centre-ville de Donetsk, engendrant morts et blessés parmi les civils.
Un des soldats pro-russes indique : « Vous voyez là dans cette forêt verte ? C’est une barrière difficile à franchir. Avec des mines antipersonnelles mais aussi, des choses plus élémentaires : des branches, des clous et des barbelés. »
Derrière ce barrage à peine visible dans les branchages, les derniers troncs, puis la plaine au-dessus des cimes des arbres, l'ennemi le plus souvent invisible, les drones.
Le soldat les connaît bien : « Je ne peux pas dire avec certitude s'il y en a au-dessus de nous en ce moment. S’ils volent bas, peut-être qu’on les entendra. Mais ils sont très difficiles à remarquer, très difficiles. Quand ça vole bas, on les entend bourdonner, et là on peut les abattre. »
À moins d'un kilomètre, les premières tranchées ukrainiennes avant Avdiïvka, la forteresse retranchée. « On ne sait foutrement pas combien ils sont là-bas… mais il y en a beaucoup, beaucoup. Voyez, là, ce sont nos positions, nos tranchées enterrées, et là, les embrasures. C’est d’ici que ça tire, si soudainement ils attaquent. On regarde tout le temps. On vit ici », témoigne un autre fantassin.
Des balles fusent. Dans une journée calme, parfois une escarmouche, les jours plus compliqués, les échanges de tirs et les bombardements ukrainiens. Il y a une dizaine de jours, ces derniers étaient nombreux à atteindre le centre-ville de Donetsk, engendrant morts et blessés parmi les civils.
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