Une mission de l’Organisation de l’aviation civile internationale va mener des audits sur le système sécuritaire de l’aéroport Léopold Sédar Senghor. Ce, après la découverte d’un corps déchiqueté dans vol de Brussels Airlines, qui avait fait escale à Dakar et à Banjul.
Mais, même si les préposés à la sécurité de l’aéroport insinuent que l’homme découvert serait monté à Banjul, l’expert juridique en aviation civile, Massourang Sourang, n’en relève pas moins des tares dans le dispositif sécuritaire mis en place au niveau de l’aéroport.
«C’est vraiment dangereux ce qui ce qui s’est passé. Et cela démontre la porosité de l’aéroport », relève-t-il dans les colonnes de l’As. D’autant plus que, souligne-t-il, il est pratiquement impossible pour un étranger d’arriver jusqu’au tarmac de l’aéroport. Ce qui lui fait dire que l’homme, s’il s’est glissé dans l’appareil au niveau de Dakar, a dû, soit bénéficier de complicités, ou encore, il est employé au niveau de l’aéroport.
Continuant son raisonnement, M. Sourang impute cette situation au cumul de l’aviation civile avec la météorologie, qui, à son avis n’ont rien à voir, et devraient par conséquent, être séparées.
Quoi qu’il en soit, cette découverte risque de coûter cher au Sénégal car un audit va être mené par l’Organisation de l’aviation civile internationale pour déterminer la fiabilité du Sénégal en matière de sécurité aéroportuaire.
Mais, même si les préposés à la sécurité de l’aéroport insinuent que l’homme découvert serait monté à Banjul, l’expert juridique en aviation civile, Massourang Sourang, n’en relève pas moins des tares dans le dispositif sécuritaire mis en place au niveau de l’aéroport.
«C’est vraiment dangereux ce qui ce qui s’est passé. Et cela démontre la porosité de l’aéroport », relève-t-il dans les colonnes de l’As. D’autant plus que, souligne-t-il, il est pratiquement impossible pour un étranger d’arriver jusqu’au tarmac de l’aéroport. Ce qui lui fait dire que l’homme, s’il s’est glissé dans l’appareil au niveau de Dakar, a dû, soit bénéficier de complicités, ou encore, il est employé au niveau de l’aéroport.
Continuant son raisonnement, M. Sourang impute cette situation au cumul de l’aviation civile avec la météorologie, qui, à son avis n’ont rien à voir, et devraient par conséquent, être séparées.
Quoi qu’il en soit, cette découverte risque de coûter cher au Sénégal car un audit va être mené par l’Organisation de l’aviation civile internationale pour déterminer la fiabilité du Sénégal en matière de sécurité aéroportuaire.
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