Selon des témoins, ces tirs provenaient d'une base du quartier de Riyadh, dans le nord de Khartoum, et sur la base de Khartoum-Nord, en banlieue de la capitale soudanaise.
Ces deux bases abritent l'ex-Service national de renseignements et de la sécurité soudanais (NISS). Il y a quelques mois, le NISS est devenu "Service des renseignements généraux ".
Les autorités ont déployé sur les lieux des forces de sécurité importantes et fermé l'espace aérien du pays.
"Alors que nous sommes dans un processus de restructuration du NISS, certains membres ont rejeté les compensations financières proposées pour leur retraite", a indiqué le NISS dans un communiqué, sans faire état de ces tirs.
Le Premier ministre Abdallah Hamdok a assuré que la situation était "sous contrôle".
Depuis la conclusion en août d'un accord entre les militaires et les dirigeants de la contestation, le pays est dirigé par un gouvernement de transition.
Ces deux bases abritent l'ex-Service national de renseignements et de la sécurité soudanais (NISS). Il y a quelques mois, le NISS est devenu "Service des renseignements généraux ".
Les autorités ont déployé sur les lieux des forces de sécurité importantes et fermé l'espace aérien du pays.
"Alors que nous sommes dans un processus de restructuration du NISS, certains membres ont rejeté les compensations financières proposées pour leur retraite", a indiqué le NISS dans un communiqué, sans faire état de ces tirs.
Le Premier ministre Abdallah Hamdok a assuré que la situation était "sous contrôle".
Depuis la conclusion en août d'un accord entre les militaires et les dirigeants de la contestation, le pays est dirigé par un gouvernement de transition.
Autres articles
-
Guerre au Soudan: les États-Unis tentent de relancer les pourparlers de paix
-
Élections en Afrique du Sud: pourquoi l’ANC s'attaque au nom du parti de l’ex-président Jacob Zuma
-
Mali: les partis politiques, de tous bords, demandent un nouveau processus court de transition
-
RDC: nouveaux combats entre les milices progouvernementales et le M23 dans la zone de Goma
-
Devant le Conseil de sécurité, la cheffe de la Monusco tire la sonnette d'alarme sur la situation dans l'est de la RDC