Certainement le discours le plus attendu depuis sa présidence. Et c’est le contexte qui l’impose. Un discours d’une aussi grande importance à la veille de la campagne électorale d’une présidentielle à laquelle, il ne va pas se présenter suscite forcément des curiosités.
Le quotidien Source A barre à sa Une de ce samedi les axes possibles du discours de Macky Sall. Selon le journal, monsieur Sall pour bétonner son discours ira s’appuyer sur quatre arguments. Après que des accusations de corruption sont portées sur deux magistrats du Conseils constitutionnel, le président Sall pourra user de ses pouvoirs exceptionnels pour rétablir la confiance, appeler à un dialogue inclusif en vue d’une élection inclusive et reprendre le processus électoral.
Le quotidien Les Echos va beaucoup plus loin dans les détails. Le journal nous parle entre autres arguments d’un éventuel report motivé par un manque de confiance entre les acteurs, problèmes entre institutions, double nationalité de certains candidats (en l’occurrence, Karim Wade et Rose Wardini).
Et des évènements survenus hier pourraient étayer l’argumentaire du quotidien les Echos. Hier de retour des Barbade, Macky Sall a reçu son Premier ministre, Amadou Ba, candidat de la coalition présidentielle, le Conseil constitutionnel, l’Afp et le PS (deux partis alliés). Rose Wardini est placée en garde à vue pour « faux et usage de faux » et « escroquerie au jugement ». Le PDS a introduit hier une proposition de loi visant à reporter les élections de six (6 mois), le bureau de l’Assemblée nationale se réunit tout à l’heure à 10 heures pour examiner la proposition du PDS. Soit deux heures avant le discours de Macky Sall.
Cependant l’opposition n’est pas restée les bras croisés dès qu’elle a eu échos du discours que Macky Sall tiendra tout à l’heure à 12 heures. Mimi Touré en premier a interpellé en ces termes la communauté internationale, « il faut que vous alliez parler au président Macky dans la nuit (Ndlr : la nuit d’hier). Après cette réaction de madame Touré, tous les autres ont marqué leur refus à un éventuel report de l’élection présidentielle du 25 février 2024.
Le quotidien Source A barre à sa Une de ce samedi les axes possibles du discours de Macky Sall. Selon le journal, monsieur Sall pour bétonner son discours ira s’appuyer sur quatre arguments. Après que des accusations de corruption sont portées sur deux magistrats du Conseils constitutionnel, le président Sall pourra user de ses pouvoirs exceptionnels pour rétablir la confiance, appeler à un dialogue inclusif en vue d’une élection inclusive et reprendre le processus électoral.
Le quotidien Les Echos va beaucoup plus loin dans les détails. Le journal nous parle entre autres arguments d’un éventuel report motivé par un manque de confiance entre les acteurs, problèmes entre institutions, double nationalité de certains candidats (en l’occurrence, Karim Wade et Rose Wardini).
Et des évènements survenus hier pourraient étayer l’argumentaire du quotidien les Echos. Hier de retour des Barbade, Macky Sall a reçu son Premier ministre, Amadou Ba, candidat de la coalition présidentielle, le Conseil constitutionnel, l’Afp et le PS (deux partis alliés). Rose Wardini est placée en garde à vue pour « faux et usage de faux » et « escroquerie au jugement ». Le PDS a introduit hier une proposition de loi visant à reporter les élections de six (6 mois), le bureau de l’Assemblée nationale se réunit tout à l’heure à 10 heures pour examiner la proposition du PDS. Soit deux heures avant le discours de Macky Sall.
Cependant l’opposition n’est pas restée les bras croisés dès qu’elle a eu échos du discours que Macky Sall tiendra tout à l’heure à 12 heures. Mimi Touré en premier a interpellé en ces termes la communauté internationale, « il faut que vous alliez parler au président Macky dans la nuit (Ndlr : la nuit d’hier). Après cette réaction de madame Touré, tous les autres ont marqué leur refus à un éventuel report de l’élection présidentielle du 25 février 2024.
Autres articles
-
Casamance/Conseil interministériel pour le retour des refugiés : le "Plan Diomaye pour la Casamance" mis en branle
-
Le Président Diomaye va exposer son programme pour les 5 ans à venir le 14 octobre 2024. (Ayib Daffé)
-
SUIVEZ en direct le point de presse de Pastef
-
« L’éligibilité de Ousmane Sonko ne découle pas de la loi d’amnistie», (juriste)
-
#Légistaives2024: l'UJTL dénonce le "sacrifice de sa jeunesse" par le PDS et convoque un point de presse