Un groupement d’entreprises françaises s’est taillé, sans appel d’offres, un marché d’un montant de six cent trente quatre mille (634 000) euros soit quatre cent seize (416) millions de F CFA. Et, une fois de plus, selon le journal "libération", c’est l’urgence qui est convoquée pour mettre de côté les procédures normales et garantes de transparence. Pour ne pas dire que les autorités doutent encore des capacités des sociétés nationales à exécuter ce genre de projet. Dans tous les cas, c’est ce qu'a plaidé la délégation générale de la Francophonie devant l’ARMP, afin d’obtenir l’ouverture dudit marché financé à partir de ressources nationales aux cabinets n’appartenant pas à des pays de l’Union Economique Monétaire Ouest-Africain (UEMO).
Selon nos confrères, la Délégation générale pour l’organisation du XVème Sommet de la Francophonie, en sa qualité de maître d’ouvrage, a sollicité auprès de l’ARMP une dérogation aux dispositions réglementaires en vigueur, en l’occurrence celles prévues par l’article 52 du Code des marchés publics.
Selon nos confrères, la Délégation générale pour l’organisation du XVème Sommet de la Francophonie, en sa qualité de maître d’ouvrage, a sollicité auprès de l’ARMP une dérogation aux dispositions réglementaires en vigueur, en l’occurrence celles prévues par l’article 52 du Code des marchés publics.
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