On ignore si le feu a été provoqué par un problème mécanique ou un acte criminel, ont déclaré des responsables égyptiens sous couvert de l’anonymat au journal.
Le mot «feu» a été capté par un enregistreur de vol de l’appareil EgyptAir avant que celui-ci s’abîme en Méditerranée en mai, avait annoncé samedi dernier une commission d’enquête dirigée par l’Egypte.
Les enquêteurs avaient déjà indiqué fin juin que l’analyse de l’autre «boîte noire», celle contenant les données de vol, avait montré que des alertes signalant de la fumée à bord s’étaient déclenchées avant le crash en mer de l’Airbus A320.
Le vol MS804 reliant Paris au Caire le 19 mai s’est abîmé entre la Crète et la côte nord de l’Egypte après avoir soudainement disparu des écrans radar pour des raisons encore indéterminées, tuant les 66 personnes à bord, dont 40 Egyptiens et quinze Français.
Les responsables techniques et de l’aviation égyptiens, qui ont parlé au journal américain, ont précisé que les deux boîtes noires ainsi que l’analyse des débris et leur localisation les avaient conduits à leurs conclusions.
Fin octobre, une bombe avait explosé à bord d’un avion de touristes russes après son décollage de la station balnéaire de Charm el-Cheikh dans l’est du pays (224 morts). L’attaque avait été revendiquée par le groupe jihadiste Etat islamique (EI).
Mais pour le cas du vol Paris-Le Caire, la thèse de l’attentat a vite cédé du terrain face à celle d’un incident technique, notamment en l’absence de revendication et en raison d’alarmes signalant des défaillances.
AFP
Le mot «feu» a été capté par un enregistreur de vol de l’appareil EgyptAir avant que celui-ci s’abîme en Méditerranée en mai, avait annoncé samedi dernier une commission d’enquête dirigée par l’Egypte.
Les enquêteurs avaient déjà indiqué fin juin que l’analyse de l’autre «boîte noire», celle contenant les données de vol, avait montré que des alertes signalant de la fumée à bord s’étaient déclenchées avant le crash en mer de l’Airbus A320.
Le vol MS804 reliant Paris au Caire le 19 mai s’est abîmé entre la Crète et la côte nord de l’Egypte après avoir soudainement disparu des écrans radar pour des raisons encore indéterminées, tuant les 66 personnes à bord, dont 40 Egyptiens et quinze Français.
Les responsables techniques et de l’aviation égyptiens, qui ont parlé au journal américain, ont précisé que les deux boîtes noires ainsi que l’analyse des débris et leur localisation les avaient conduits à leurs conclusions.
Fin octobre, une bombe avait explosé à bord d’un avion de touristes russes après son décollage de la station balnéaire de Charm el-Cheikh dans l’est du pays (224 morts). L’attaque avait été revendiquée par le groupe jihadiste Etat islamique (EI).
Mais pour le cas du vol Paris-Le Caire, la thèse de l’attentat a vite cédé du terrain face à celle d’un incident technique, notamment en l’absence de revendication et en raison d’alarmes signalant des défaillances.
AFP
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