De façon surprenante, Emmanuel Macron évoque une piste pourtant critiquée par son secrétaire d'Etat au numérique Cédric O: interdire l'anonymat en ligne.
"Dans une société démocratique, il ne devrait pas y avoir d'anonymat. On ne peut pas se promener encagoulé dans la rue. Sur Internet, les gens s'autorisent, car ils sont encagoulés derrière un pseudo, à dire les pires abjections", analyse ainsi Emmanuel Macron dans un entretien avec l'hebdomadaire français Le Point.
Le candidat, qui affrontera Marine Le Pen lors du second tour le 24 avril prochain, revient également sur ses promesses de campagne autour de la souveraineté numérique de la France, face à la toute puissance des géants américains et chinois dans le domaine, souligne BFMTV.
"Assurer notre souveraineté dans les domaines des plateformes, des applications mobiles, des métavers, du cloud de la cybersécurité nous prendra dix ans" anticipe ainsi Emmanuel Macron.
"Dans une société démocratique, il ne devrait pas y avoir d'anonymat. On ne peut pas se promener encagoulé dans la rue. Sur Internet, les gens s'autorisent, car ils sont encagoulés derrière un pseudo, à dire les pires abjections", analyse ainsi Emmanuel Macron dans un entretien avec l'hebdomadaire français Le Point.
Le candidat, qui affrontera Marine Le Pen lors du second tour le 24 avril prochain, revient également sur ses promesses de campagne autour de la souveraineté numérique de la France, face à la toute puissance des géants américains et chinois dans le domaine, souligne BFMTV.
"Assurer notre souveraineté dans les domaines des plateformes, des applications mobiles, des métavers, du cloud de la cybersécurité nous prendra dix ans" anticipe ainsi Emmanuel Macron.
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