Quatre femmes et trois hommes ont été poignardés vendredi alors qu'ils étaient simplement en train de faire leurs courses. L'auteur de cet attentat, un Sri-lankais de 32 ans, a été abattu par la police dans la minute qui a suivi cette attaque.
Constamment suivi par des officiers en civile, le terroriste, sympathisant de l'État islamique, était donc surveillé de très près par les autorités.
Lors de son point presse ce samedi, la Première ministre Jacinda Ardern a dû répondre à de nombreuses questions sur le passé judiciaire de cet individu. Elle a précisé « que toutes les voies ont été explorées pour le maintenir en détention ».
Le Mental Health Act pointé du doigt
Libérer en juillet dernier, l'homme avait été condamné en 2018 pour possession d'arme blanche et planification d'une attaque terroriste. Pendant sa détention, Jacinda Ardern a également précisé qu'il avait agressé des gardiens mais aucun chef d'accusation n'avait alors été retenu contre lui.
Mais certaines autorités pointent désormais du doigt le Mental Health Act, c'est-à-dire examiner un prisonnier psychologiquement. Ce qui n'avait pas été fait sur cet individu. Une nouvelle qui pose un « gros problème » a déclaré la Première ministre.
Tout comme des interrogations autour d'une déportation de l'individu dont le gouvernement n'a pas encore été capable de justifier à cause de procédés judiciaires.
Constamment suivi par des officiers en civile, le terroriste, sympathisant de l'État islamique, était donc surveillé de très près par les autorités.
Lors de son point presse ce samedi, la Première ministre Jacinda Ardern a dû répondre à de nombreuses questions sur le passé judiciaire de cet individu. Elle a précisé « que toutes les voies ont été explorées pour le maintenir en détention ».
Le Mental Health Act pointé du doigt
Libérer en juillet dernier, l'homme avait été condamné en 2018 pour possession d'arme blanche et planification d'une attaque terroriste. Pendant sa détention, Jacinda Ardern a également précisé qu'il avait agressé des gardiens mais aucun chef d'accusation n'avait alors été retenu contre lui.
Mais certaines autorités pointent désormais du doigt le Mental Health Act, c'est-à-dire examiner un prisonnier psychologiquement. Ce qui n'avait pas été fait sur cet individu. Une nouvelle qui pose un « gros problème » a déclaré la Première ministre.
Tout comme des interrogations autour d'une déportation de l'individu dont le gouvernement n'a pas encore été capable de justifier à cause de procédés judiciaires.
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