L'envergure de l'attaque de la prison de Hassaké a rappelé aux yeux du monde la présence persistante de l'organisation État islamique. Mercredi 26 janvier, après six jours d'intenses combats, les forces kurdes syriennes ont affirmé avoir repris le contrôle de cette grande prison où de nombreux membres du groupe terroriste étaient détenus.
En réalité, réinstaurer le calme et venir à bout de chaque groupe de jiihadistes prend du temps. Quelque 60 membres de l'EI seraient toujours terrés dans les sous-sols ou le rez-de chaussée de la prison. Samedi 29 janvier des affrontements ont également eu lieu aux alentours. Mais pour la communication des Forces démocratiques syriennes, lutter contre ces cellules dormantes est devenu normal.
L’exode de milliers de familles
De l'autre côté de la frontière, en Irak, le long du bandeau désertique disputé entre le Kurdistan irakien et Bagdad, les attaques de l'organisation État islamique semblent également être devenues tristement normales. Les offensives sporadiques sur des installations ou convois militaires sont presque permanentes. Après l'attaque de la prison syrienne, des forces irakiennes ont également dû été déployées le long de la frontière.
En Irak comme en Syrie cette instabilité a provoqué la fuite de milliers de familles déjà soumises à une situation d'extrême pauvreté.
En réalité, réinstaurer le calme et venir à bout de chaque groupe de jiihadistes prend du temps. Quelque 60 membres de l'EI seraient toujours terrés dans les sous-sols ou le rez-de chaussée de la prison. Samedi 29 janvier des affrontements ont également eu lieu aux alentours. Mais pour la communication des Forces démocratiques syriennes, lutter contre ces cellules dormantes est devenu normal.
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