Jacques Ngor Sarr, membre du conseil d’administration de la cellule des journalistes d’investigations de l’Afrique de l’ouest (CENOZO), invité au plateau de Midi Keng ce mardi sur pressafrik tvhd, déclare que la liberté de presse au Sénégal laisse à désirer et soutient par là que « Ce n’est pas normal que l’on met un journaliste en prison dans le cadre de son travail. Un journaliste ne devrait pas être inquiété pour son travail, on ne doit pas arrêter un journaliste pour diffusion de fausses nouvelles », a-t-il soutenu.
Il a ajouté : « Il y a d’autres méthodes autres que la prison. La place du journaliste n’est pas dans les prisons mais dans les rédactions pour informer, relater les faits. Enfermer un journaliste dans le cadre de son travail est un recule démocratique ».
Il a ajouté : « Il y a d’autres méthodes autres que la prison. La place du journaliste n’est pas dans les prisons mais dans les rédactions pour informer, relater les faits. Enfermer un journaliste dans le cadre de son travail est un recule démocratique ».
Autres articles
-
Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience
-
Bras de fer État–médias : la décision de la Cour suprême portant annulation des arrêtés du ministère de la Communication
-
Kolda : des femmes outillées pour renforcer leur présence dans les chambres consulaires
-
Disparition des huit (08) pêcheurs à Saint Louis : les « Guet ndariens » interpellent le gouvernement
-
Assemblée nationale : Cheikh Tidiane Dièye adopte une approche de "rupture" face à la crise de l'Eau




Prix E-jicom 2025 : la huitième édition célébrée ce 13 décembre sous le signe de la Résilience


