
D’après le Centre américain d’étude géologique et le Centre allemand de recherche sur les géosciences, ces secousses sont causées par du magma, ces roches en fusion dans les profondeurs de la terre, qui s’introduit dans le sous-sol, non loin de deux volcans. Le risque de nouveaux tremblements de terre reste donc élevé. Pire, les volcans pourraient également entrer en éruption. Mais cela ne suffit pas à convaincre plusieurs milliers d’éleveurs de quitter la région.
Des inquiétudes pour le bétail
D’après le dernier rapport du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), les habitants des districts d’Awash et Dulecha, dans le sud de l’Afar, s’inquiètent pour leur bétail. « Le déplacement de près de 400 000 animaux perturbe les moyens de subsistance des éleveurs, écrit ainsi l'Ocha, car les sites d’évacuation ne disposent pas de terres adaptées à l’élevage. »
Piètres conditions d’accueil
L’organisation s’inquiète en outre, des piètres conditions d’accueil des déplacés, installés sur des terrains à l’air libre, dans des tentes de fortune, exposés à une chaleur torride le jour et à un froid glacial la nuit. Les autorités éthiopiennes, quant à elles, se disent prêtes à procéder à des évacuations de force dans les zones à hauts risques. Près de 80 000 personnes ont déjà été déplacées.
Des inquiétudes pour le bétail
D’après le dernier rapport du Bureau de coordination des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), les habitants des districts d’Awash et Dulecha, dans le sud de l’Afar, s’inquiètent pour leur bétail. « Le déplacement de près de 400 000 animaux perturbe les moyens de subsistance des éleveurs, écrit ainsi l'Ocha, car les sites d’évacuation ne disposent pas de terres adaptées à l’élevage. »
Piètres conditions d’accueil
L’organisation s’inquiète en outre, des piètres conditions d’accueil des déplacés, installés sur des terrains à l’air libre, dans des tentes de fortune, exposés à une chaleur torride le jour et à un froid glacial la nuit. Les autorités éthiopiennes, quant à elles, se disent prêtes à procéder à des évacuations de force dans les zones à hauts risques. Près de 80 000 personnes ont déjà été déplacées.
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