L’Université Gaston Berger (ugb) de Saint-Louis en synergie avec CNAAS, CCPA et le COOPEC/RESOPP compte effectuer sur les cinq (5) prochaines années (2018-2022) l’étude de l’évolution de l’impact de l’assurance agricole indicielle sur le niveau de vie des agriculteurs. L'annonce a été faite en marge d'un atelier organisé ce mardi 4 juin à Dakar.
A l'occasion, le coordonnateur de l’équipe de recherche mis en place par l’Ugb, a soutenu que : «pour l’assurance indicielle, partout dans le monde, il a été noté qu’à travers les études qui ont été faites, que le taux de substitution ne dépasse pas d’une manière générale 30 %. Ce qui a amené l’ensemble des acteurs à dire que le taux de substitution de l’assurance indicielle à travers le monde est faible et il faudrait trouver des mécanismes pour pallier ce problème et permettre à l’assurance indicielle de passer à une échelle supérieure, amener plus de producteurs à une assurance agricole indicielle».
Mame Mor Anta Sylla de préciser que «la souscription à l’assurance indicielle est très faible chez les producteurs sénégalais». C’est dans ce cadre, dit-il, que «l’UGB, à travers son Laboratoire de recherche en économie (LARES), a lancé depuis l’année dernière une série d’études. Celle-ci visant à apporter des réponses sur ces différentes questions notamment sur les leviers pouvant améliorer significativement le taux de souscription».
Il a par ailleurs indiqué qu’«au terme de l’étude exploratoire de 2017 qui a abordé la questions des conséquences potentielles d’une assurance obligatoire contre une assurance volontaire sur le taux de souscription, une deuxième phase consistant en une évolution d’impact proprement dire tentera de mesurer l’effet d’assurance indicielle sur le niveau de production et les conditions de vie des bénéficiaires».
A l'occasion, le coordonnateur de l’équipe de recherche mis en place par l’Ugb, a soutenu que : «pour l’assurance indicielle, partout dans le monde, il a été noté qu’à travers les études qui ont été faites, que le taux de substitution ne dépasse pas d’une manière générale 30 %. Ce qui a amené l’ensemble des acteurs à dire que le taux de substitution de l’assurance indicielle à travers le monde est faible et il faudrait trouver des mécanismes pour pallier ce problème et permettre à l’assurance indicielle de passer à une échelle supérieure, amener plus de producteurs à une assurance agricole indicielle».
Mame Mor Anta Sylla de préciser que «la souscription à l’assurance indicielle est très faible chez les producteurs sénégalais». C’est dans ce cadre, dit-il, que «l’UGB, à travers son Laboratoire de recherche en économie (LARES), a lancé depuis l’année dernière une série d’études. Celle-ci visant à apporter des réponses sur ces différentes questions notamment sur les leviers pouvant améliorer significativement le taux de souscription».
Il a par ailleurs indiqué qu’«au terme de l’étude exploratoire de 2017 qui a abordé la questions des conséquences potentielles d’une assurance obligatoire contre une assurance volontaire sur le taux de souscription, une deuxième phase consistant en une évolution d’impact proprement dire tentera de mesurer l’effet d’assurance indicielle sur le niveau de production et les conditions de vie des bénéficiaires».
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