La cohabitation entre populations de Gade et Ngomène et les industries chimiques devient problématique. En effet, ces populations reprochent à ces industries d’être la cause de tous les maux qui les frappent. Recevant le regroupement des associations de la civile, elles ont exprimé leur courroux à l’encontre de ces sociétés.
«Ce village subit quotidiennement différentes types de pollutions. Il y a la pollution sonore par les gros engins, celle avec la poussière, ou encore la pollution chimique qui s’échappe des Ics. Quand il y a des échappées au niveau des Industries chimiques du Sénégal, cela se ressent au niveau de la population. Cette population aujourd’hui ne souhaite rien d’autre que d’être délocalisée », a déclaré Demba Fall Diouf, président du réseau national des Personnes affectées par les opérations minières (Papom).
Aziz Diop, le coordonnateur des organisations de la société abonde dans le même sens. Mais, M Diop reproche à l’ancien Code minier, «avec ces textes datant d’avant l’indépendance» les maux qui frappent les populations, mais, espère que les dispositions prises dans les nouveaux textes pourront prendre à terme, les populations en charge. Néanmoins, il exhorte l’Etat à renégocier les contrats avec les industries extractives.
«Ce village subit quotidiennement différentes types de pollutions. Il y a la pollution sonore par les gros engins, celle avec la poussière, ou encore la pollution chimique qui s’échappe des Ics. Quand il y a des échappées au niveau des Industries chimiques du Sénégal, cela se ressent au niveau de la population. Cette population aujourd’hui ne souhaite rien d’autre que d’être délocalisée », a déclaré Demba Fall Diouf, président du réseau national des Personnes affectées par les opérations minières (Papom).
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