L’économiste Maissa Babou a évoqué une « perte énorme qui sera difficile de calculer en une journée », suite à la grève des transports entamée mercredi 1er décembre. Cette grève n’est pas encore finie, puisque le responsable du Syndicat des transporteurs, Gora Khouma a annoncé ce jeudi qu'ils avaient décrété un nouveau mot d'ordre de grève qui est cette fois illimité. Ce face au refus du ministre Mansour Faye d'accéder à leur requête.
« Ce sont des conséquences incalculables. D’une part, le chiffre d’affaires de plus de 20.000 voitures de transport public est perdu. D’autres part, presque 70% de la production nationale est perdue. Et sur beaucoup de marchés, le chiffre d’affaire des ambulants est en baisse drastique, parce que les clients ne peuvent pas se déplacer », a dit M. Babou dans L’AS.
En plus de cela, poursuit-il, beaucoup de commerçant ont fermé leurs boutiques. Fiscalement, il estime que « d’énorme pertes sont à déplorer puisque les voitures qui sont en grève des taxes ».
« C’est une véritable crise économique. Pour le moment, il reste difficile de chiffrer les pertes. Donc, il faut être prudent. J’ai avance 70% parce que certains services sont au ralenti. Economiquement, fiscalement, et commercialement, c’est une perte énorme. Ce sera difficile de la calculer en une journée », a tranché l’économiste.
« Ce sont des conséquences incalculables. D’une part, le chiffre d’affaires de plus de 20.000 voitures de transport public est perdu. D’autres part, presque 70% de la production nationale est perdue. Et sur beaucoup de marchés, le chiffre d’affaire des ambulants est en baisse drastique, parce que les clients ne peuvent pas se déplacer », a dit M. Babou dans L’AS.
En plus de cela, poursuit-il, beaucoup de commerçant ont fermé leurs boutiques. Fiscalement, il estime que « d’énorme pertes sont à déplorer puisque les voitures qui sont en grève des taxes ».
« C’est une véritable crise économique. Pour le moment, il reste difficile de chiffrer les pertes. Donc, il faut être prudent. J’ai avance 70% parce que certains services sont au ralenti. Economiquement, fiscalement, et commercialement, c’est une perte énorme. Ce sera difficile de la calculer en une journée », a tranché l’économiste.
Autres articles
-
Mort de Seydina Mouhamed Diop : la police livre sa version des faits
-
« Il y a eu sous Macky Sall une politisation à outrance judiciaire » Abdoulaye Ndiogou
-
Bus DDD incendié à Pikine : les travailleurs condamnent et réclament des poursuites judiciaires contre les auteurs
-
Affaire de l’Attentat du Bus à Yarakh, « c’est une farce » selon Abdoulaye Ndiogou
-
Jeune tué à Pikine : des organisations de défense des Droits de l’homme exigent l’ouverture d’une enquête