L'ancien chef d'Etat gambien exilé après son départ de la présidence, en janvier dernier, a trouvé un ange protecteur, en la personne de Obiang Nguème, alors qu'il est passible de poursuites pour crimes commis durant son règne de 22 ans.
Le Président équato-guinéen a déclaré qu'il n'allait pas extradé son hôte, après s'être entretenu avec le président en exercice de l'Union africaine Alpha Condé, également Président de la Guinée.
"Je crois que la position de protéger les anciens chefs d’Etat est une position correcte. Et précisément je félicite Alpha Condé qui m’a suggéré qu’il n’accepterait aucune demande d’extradition de Yahya Jammeh. Moi non plus je ne l’accepterai pas”, a expliqué le Président Obiang Nguema. “Nous sommes complètement d’accord qu’il faut protéger Yahya Jammeh, il faut le respecter comme ancien chef d’Etat d’Afrique. Car c’est une garantie pour que les autres chefs d’Etat qui doivent quitter le pouvoir n’aient pas peur des harcèlements qu’ils pourraient subir après”, a-t-il affirmé.
Le Président équato-guinéen a déclaré qu'il n'allait pas extradé son hôte, après s'être entretenu avec le président en exercice de l'Union africaine Alpha Condé, également Président de la Guinée.
"Je crois que la position de protéger les anciens chefs d’Etat est une position correcte. Et précisément je félicite Alpha Condé qui m’a suggéré qu’il n’accepterait aucune demande d’extradition de Yahya Jammeh. Moi non plus je ne l’accepterai pas”, a expliqué le Président Obiang Nguema. “Nous sommes complètement d’accord qu’il faut protéger Yahya Jammeh, il faut le respecter comme ancien chef d’Etat d’Afrique. Car c’est une garantie pour que les autres chefs d’Etat qui doivent quitter le pouvoir n’aient pas peur des harcèlements qu’ils pourraient subir après”, a-t-il affirmé.
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