La tention était vive ce mercredi matin au rond-point liberté 6. En effet, une dizaine de taxis clando et minicar ont été immobilisés par la police, lors d'un contrôle surprise de sécurité routière, effectuée par la police. Une situation qui a poussé les chauffeurs à proférer des menaces à l’encontre des autorités étatiques
« Je n'ai encore rien encaissé. Quand j’ai vu les policiers au niveau du rond-point (Liberté 6). Je me suis retourné. Nous sommes vraiment fatigués de cette situation. Le gouvernement n’a pas le droit de faire immobiliser nos voitures. Parce que nous sommes en règle. Et si cela persiste nous allons prendre les pirogues et aller en Guinée », a laissé entendre, Mourtalla Youm, l’un d’entre eux.
Il ajoute : « C’est dur pour nous, mais aussi pour les clients. Nous ne voulons pas devenir des agresseurs et nous n'avons que ce métier, pour subvenir à nos besoins ».
« Je n'ai encore rien encaissé. Quand j’ai vu les policiers au niveau du rond-point (Liberté 6). Je me suis retourné. Nous sommes vraiment fatigués de cette situation. Le gouvernement n’a pas le droit de faire immobiliser nos voitures. Parce que nous sommes en règle. Et si cela persiste nous allons prendre les pirogues et aller en Guinée », a laissé entendre, Mourtalla Youm, l’un d’entre eux.
Il ajoute : « C’est dur pour nous, mais aussi pour les clients. Nous ne voulons pas devenir des agresseurs et nous n'avons que ce métier, pour subvenir à nos besoins ».
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