Les Douanes Sénégalaises ont franchi une nouvelle étape. Elles ont organisé à cet effet un atelier d'évaluation de la mise en œuvre de la dématérialisation intégrale des procédures douanières. Cette initiative intervient après la dématérialisation totale des formalités de dédouanement le 1er janvier 2024.
Lors de la rencontre qui s'est tenue, ce mardi, le président de l'Association pour la sauvegarde et la sécurité du transit et des acteurs portuaires (Asstap), Oumar Diouf, a souligné l'importance de cette avancée dans un monde axé sur la rapidité et la sécurité. « La dématérialisation vise à assurer le suivi de la traçabilité et l'automatisation des informations circulant dans Gaindé, sous forme électronique, pour optimiser les activités économiques », a-t-il indiqué.
Selon ce dernier, au cœur de cette transformation se trouvent trois acteurs majeurs : Gaïndé Intégral, Orbus 2000, et la norme EDI FACT, formant une combinaison tripolaire. « Le couple Gaïndé - Orbus 2000, ancré dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC), représente une option tangible de modernisation », a expliqué M. Diouf.
Les objectifs clés de cette intégration sont « ambitieux ». À en croire le président de ASSTAP, en premier lieu, « c’est d’affiner la sélectivité des contrôles douaniers en anticipant les formalités préalables au dédouanement grâce à la collecte électronique des documents justificatifs. Ensuite, accélérer le traitement des déclarations en détail en rendant les documents disponibles en pièces jointes. Enfin, faciliter et sécuriser le paiement des droits et taxes par le biais d'une plateforme de règlement électronique ».
A cela s’ajoute, « la norme E DI FACT, base technologique du contrôle par ciblage et du calcul du niveau de risque dès la prise en charge du Manifeste Cargo, renforce cette transition vers un dédouanement sans papiers ni documents physiques ». Avec cette « combinaison tripolaire », la Douane sénégalaise s'engage résolument vers une ère de dédouanement moderne, exploitant pleinement les opportunités offertes par la dématérialisation pour assurer « efficacité et sécurité », dans les échanges internationaux.
Lors de la rencontre qui s'est tenue, ce mardi, le président de l'Association pour la sauvegarde et la sécurité du transit et des acteurs portuaires (Asstap), Oumar Diouf, a souligné l'importance de cette avancée dans un monde axé sur la rapidité et la sécurité. « La dématérialisation vise à assurer le suivi de la traçabilité et l'automatisation des informations circulant dans Gaindé, sous forme électronique, pour optimiser les activités économiques », a-t-il indiqué.
Selon ce dernier, au cœur de cette transformation se trouvent trois acteurs majeurs : Gaïndé Intégral, Orbus 2000, et la norme EDI FACT, formant une combinaison tripolaire. « Le couple Gaïndé - Orbus 2000, ancré dans les nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC), représente une option tangible de modernisation », a expliqué M. Diouf.
Les objectifs clés de cette intégration sont « ambitieux ». À en croire le président de ASSTAP, en premier lieu, « c’est d’affiner la sélectivité des contrôles douaniers en anticipant les formalités préalables au dédouanement grâce à la collecte électronique des documents justificatifs. Ensuite, accélérer le traitement des déclarations en détail en rendant les documents disponibles en pièces jointes. Enfin, faciliter et sécuriser le paiement des droits et taxes par le biais d'une plateforme de règlement électronique ».
A cela s’ajoute, « la norme E DI FACT, base technologique du contrôle par ciblage et du calcul du niveau de risque dès la prise en charge du Manifeste Cargo, renforce cette transition vers un dédouanement sans papiers ni documents physiques ». Avec cette « combinaison tripolaire », la Douane sénégalaise s'engage résolument vers une ère de dédouanement moderne, exploitant pleinement les opportunités offertes par la dématérialisation pour assurer « efficacité et sécurité », dans les échanges internationaux.
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